|
|
17.11.2006 |
1. | |
2. | |
3. | |
4. | |
5. | |
6. | |
7. | |
8. | |
9. | L'essentiel |
10. | Soleil Blanc |
11. | |
12. | |
|
. . .
|
|
Entre ici là
Tu oublieras
Tes soucis, vois
La vrai vie a
Le coeur qui bat,
Sacrifie-toi
Signe ici,
Et abandonne tout de ta vie.
Tout de ta vie.
Réveille-toi.
Tu as faim, froid,
Tu ne dors pas,
Mais tu y crois,
L’élu c’est toi,
L’amour fait loi,
Sacrifie toi,
Entre ici et abandonne tout de ta vie
Réveille-toi.
. . .
|
|
Ce soir
Je rêve de toi
Je sais qu'on ment
Je sais qu'on sait
Est-ce que tu pleures ?
Es-ce que tu ris ?
L'inévitable me sourit
Comment ne pas te dire
C'est un jour parfait
C'est un jour parfait
Pour te retrouver
Et tout emporter
Ce soir
Comme toutes les nuits
j'entends ton souffle
Qui me poursuit
Est-ce que tu pleures ?
Est-ce que tu ris ?
De toutes ces heures à t'attendre
Comment ne pas te dire
C'est un jour parfait
C'est un jour parfait
Pour te retrouver
Et si c'était vrai
Entendre ta voix
Si près de moi
C'est un jour parfait
C'est un jour parfait
Seules les heures meurent
Comment ne pas te dire
C'est un jour parfait
C'est un jour parfait
Pour te retrouver
Et si c'était vrai
Entendre ta voix
Et si c'était toi
C'est un jour parfait
Un jour parfait...
Ce soir
Je rêve de toi
Je sais qu'on ment
Je sais qu'on sait
. . .
|
|
Pas un mot, pas un cri
J’aimerai tant
J’aimerai tellement, rien ne vient pourtant
C’est écrit, sur ta peau
{Refrain}
Comme un cŒur, sacré tatoué,l’amour, peut il durer,toujours
Crois tu vraiment à l’amour
Tout est faux, tout est gris
Tu prétends
Tenter tant le sang jamais ne ment
Tu sais bien, les matins
Quand les cŒurs
Semblent peser, si lourd
Ton corps tatoué, amour
D’un cŒur sacré
Est ce l’amour
{Refrain}
Comme un cŒur, sacré tatoué, l’amour, peut il durer,toujours
Crois tu vraiment à l’amour
. . .
|
|
Je me lève
Presque humain
Et je pense
Aux lendemains
Je t'entends
Mais je saigne
Moi je continue quand même
A vivre ma vie
Et à rire de temps en temps
Mais moins souvent
As-tu vu
Nos emblèmes
Devenir poussières et peines
Dans les tours de la haine
Moi je continue quand même
De penser qu'on est vivant
Et à croire qu'on est les mêmes
Ressentir ce sentiment
Moi je continue quand même
A vivre ma vie
Et à rire de temps en temps
Mais moins souvent
Mais moins souvent..
. . .
|
|
De ce temps la , je n'entends plus ma voie
De ce temps la , je ne guide plus mes pas
De ce temps la je sais que je vais mais ne marche pas ah
Sans aucun repos
J'avance puisque qu'il le faut
De là haut
Peux tu me dire si les mots sont plus beaux
Peux tu me dire si l'air est aussi chaud
Est-ce que tu le sens ?
Est-ce que tu m'entends ?
Désormais,s'il fait un peu plus frais
Ce n'est pas que le temps soit mauvais
Mais il est vrai,
que je me perds dans ce monde imparfait!
Ni meilleur , ni plus laid
Mais juste un pâle reflet
De là-haut,
Peux tu me dire si les mots sont plus beaux,
Peux tu me dire si l'air est aussi chaud,
Est-ce que tu le sens ?
Est-ce que tu entends tout mes mots ,
Peux tu me dire si leurs sens est plus beau ,
Peux tu me dire si leur souffle est plus chauds ,
S'ils te reconfortent ?
Là où ils t'emportent ?
Je ne rêve qu'en noir et blanc,
Mes souvenirs se mêlent de sang, et pourtant
Je me lève pour faire semblant,
De vivre comme un vivant !
De là-haut,
Peux tu me dire si les mots sont plus beaux,
Peux tu me dire si l'air est aussi chaud,
Est-ce que tu le sens ?
Est-ce que tu entends ?
Tous les mots,
Peux tu me dire si leurs sens est plus beaux,
Et Peux tu me dire si leur souffle est plus chaud,
S'ils te reconfortent ?
Là où ils t'emportent ?
De là-haut,
Est-ce que tu le sens ?
Est-ce que tu m'entends ?
De là-haut
. . .
|
|
Comme vos mains ont l'air de tenir
Assez fort l'une à l'autre
Comme vos yeux ont tant à se dire
C'est étrange, moi je baisse les miens
Comme vos pas dévorent le présent
Voleurs du temps qui vient
Au coin de ta rue, je vous vois maintenant
Et l'amour te va bien
Un hiver tombe sur ma vie
Comment voir l'amour en face
Quand quelqu'un d'autre t'enlace
Un hiver tombe sur mes nuits
Comment voir l'amour en face
Quand on a perdu sa place
Est-ce un crime si je vous espionne ?
Ca ne regarde que moi...
Que ceux qui ont aimé me pardonnent
De ne pas croire à tout ce que je vois
Un hiver tombe sur ma vie
Comment voir l'amour en face
Quand quelqu'un d'autre t'enlace
Un hiver tome sur mes nuits
Comment voir l'amour en face
Quand on a perdu sa place
Comment voir l'amour en face
Quand on a perdu sa place
Un hiver tombe sur ma vie
Comment voir l'amour en face
Quand quelqu'un d'autre t'enlace
Un hiver tombe sur mes nuits
Comment voir l'amour en face
Quand on a perdu sa place
Un hiver tombe sur ma vie
Un hiver tombe sur mes nuits
Comment voir l'amour en face
Quand on a perdu sa place
Comment voir l'amour en face
Quand on a perdu sa place
. . .
|
|
Marcher, entrevoir
Trop vite et ne rien voir
Prier pour oublier sa vie
Où qu'on aille,
La même faille saigne en nous
Lumière pâle
Nous fait croire
A d'inutiles fantaisie
Ignore la nuit
Dévore-la
C'est écrit
Tout s'effondre
Dans ma tête
Je veux qu'on guide mes pas
Instincts maudits
Instants vains
C'est écrit
C'est écrit
Dans nos vie infécondes
Et puis, on repart
Au hasard
Pantins mis au monde
Chercher et le sens et l'envie
Ignore la nuit
Dévore-la
C'est écrit
Tout s'effondre dans ma tête
Je veux qu'on guide mes pas
Instincts maudits
Instants vains
C'est écrit
C'est écrit
Je m'enfuis,
Je m'enfuis dans ma vie.
C'est écrit
C'est écrit
Je m'enfuis
Je m'enfuis
. . .
|
|
Inéluctable ce sentiment que tu me mens
je m'efface soumis devant la fuite du temps
je t'aime tant je m'agace
ah...... je m'efface
innapaissable ressentiment que je t'attend hélas
inéxorable état latant
à chaque insatant je ressasse
ah..... je ressasse
puisque le temps est infime
j'aimerais qu'on en finisse
oh.....
inévitable pour le moment
car sur ma peau ta trace
prends les devants inverse le temps
la vie reprends sa place
ah .... je me lasse
puisque le temps est infime
j'aimerais qu'on en finisse
et si le temps est un signe demain j'irais la suivre
oh trop d'amour pour moi trop d'amour
. . .
|
|
. . .
|
|
. . .
|
|
L'existence
Est un fil
Qui me dispense
D'équiibre
Je me distance
Me défile
Je manque de sens
Et d'estime
Pourtant, je pense à toi
Je pense à toi
Ah, je te regarde
Ah, prendre mon âme
L'échéance
Sur ce fil
C'est de te croire
Invincible
je me balance
Vers le pire
Mais le meilleur
C'est te dire
Pourtant, je pense
Je pense à toi
Ah, je regarde
Ah, prendre mon âme
En silence, moi j'attends mon heure
J'attends et je meurs
D'y croire
Ah, je te regarde
. . .
|
|
Sous les vents et les neiges de Suède
Enlevant les gens gelés d'amour
Je la possède
Lassant le jour,
Le froid alentour fait peau blanche.
Nos cheveux blend cendré viennent du soleil,
Qui lui ne vient
Pas le dimanche.
Enlève-moi et laisse-moi.
le syndrome de Stockholm
Une ligne de vie
A poursuivre mes racines.
M'enlevant d'un jour sédéral,
J'irai voir une aurore boréale
Et l'art de vivre en
Lassant le temps
Le syndrome de Stockholm
Une ligne de vie
A poursuivre mes racines.
Le syndrome de Stockholm
Une ligne de vie
A poursuivre mes racines.
Les iris y naissent en novembre,
Si forts qu'ils en vivraient dans nos landes
Dedans mon coeur
Lassant mes pleurs.
J'aimerais tant vivre en novembre.
. . .
|
|