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(Marie-Jo Zarb/Calogero/Gioacchino)
On cherche tous son étoile
une bienveillante Et à part
quelqu’un à qui on parle
qui nous éclaire le regard
Une lueur qu’on retient
est-elle la même pour tout le monde
Comme un destin commun
sur cette terre moins ronde
Je regarde là-haut
S’il nous protège encore
Je regarde là-haut
Peut-il choisir encore
Je regarde le ciel
Et sa couleur est la même
Pour ceux qui ont de la peine
Symboles sans états d’âme
Elles ignorent même
quand elles brillent
Qu’on abuse de leur charme
Tout existe ici
On prie la même étoile
Sans trop savoir si on partage
Le banal et le mal
Sur cette terre moins sage
Je regarde là-haut
S’il nous protège encore
Je regarde là-haut
Peut-il choisir encore
Je regarde le ciel
Et sa couleur est la même
Pour ceux qui ont de la peine
S’il nous protège encore
Je regarde là-haut
Peut-il choisir encore
Je regarde le ciel
Et sa couleur est la même
Pour ce qui on de la peine
Les larmes sont éternelles
Les larmes sont éternelle.
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Même si c'est me brûler les ailes
J'irai toujours où l'amour m'appelle
Quitte à en payer le prix fort
Me perdre en route
Je marcherai encore
Comme seul fil à suivre
Et sans détour
Je veux tout vivre
Refrain :
Ah-ah, avant, que passe le temps
Ah-ah avant tant qu'il est encore temps
Même si mes yeux se découragent
Je chercherai
Dans d'autres visages
Et vers ce qu'il y a de plus beau
J'avancerai
Sans courber le dos
Mais avant tout libre
Et sans regrets
Je voudrai vivre
Refrain (2 fois)
Ah-ah avant ,
De perdre mon temps
Ah-ah avant tant qu'il est encore temps
S'il reste du temps
S'il reste du temps
Je veux tout vivre
J'irai au devant
Avant tout libre
Là où tu m'attends
Refrain (2 fois)
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(Jean-Michel Jarre/Chistophe)
Il est six heures au clocher de l'église
Dans le square les fleurs poétisent
Une fille va sortir de la mairie
Comme chaque soir je l'attends
Elle me sourit
Il faudrait que je lui parle
A tout prix
Je lui dirai les mots bleus
Les mots qu'on dit avec les yeux
Parler me semble ridicule
Je m'élance et puis je recule
Devant une phrase inutile
Qui briserait l'instant fragile
D'une rencontre
D'une rencontre
Je lui dirai les mots bleus
Ceux qui rendent les gens heureux
Je l'appellerai sans la nommer
Je suis peut-être démodé
Le vent d'hiver souffle en avril
J'aime le silence immobile
D'une rencontre
D'une rencontre
Il n'y a plus d'horloge, plus de clocher
Dans le square les arbres sont couchés
Je reviens par le train de nuit
Sur le quai je la vois
Qui me sourit
Il faudra bien qu'elle comprenne
A tout prix
Je lui dirai les mots bleus
Les mots qu'on dit avec les yeux
Toutes les excuses que l'on donne
Sont comme les baisers que l'on vole
Il reste une rancŒur subtile
Qui gâcherait l'instant fragile
De nos retrouvailles
De nos retrouvailles
Je lui dirai les mots bleus
Ceux qui rendent les gens heureux
Une histoire d'amour sans paroles
N'a pas besoin du protocole
Et tous les longs discours futiles
Terniraient quelque peu le style
De nos retrouvailles
De nos retrouvailles
Je lui dirai les mots bleus
Ceux qui rendent les gens heureux
Je lui dirai tous les mots bleus
Tous ceux qui rendent les gens heureux
Tous les mots bleus
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(Cyril Paulus)
J'ai un grand écran couleur
J'ai quelques amis
De l'eau et des fleurs
Dans un grand vase en cristal
Ma carte vitale
Si j'ai mal.
J'ai un bel appartement
Et tout le confort
Qu'il me faut dedans
Mais où est mon essentiel ?
Et mon soleil en haut du ciel ?
Je n'ai que toi pour oublier
Le poids de ma normalité
Refrain :
Viens on s'envole
Ensemble on décolle
Pour 1000 heures de vol
Sans escale et sans toucher le sol
On voudra plus descendre
Et plus besoin d'aller dehors
On fait service à bord
Je peux rester sans rien faire
Ne penser à rien des journées entières
Mais plus d'une heure sans toi
Et je tourne en rond
Je touche le fond
Il n'y a que toi pour m'emmener
Si loin de ma réalité
Viens on s'envole
Ensemble on décolle
Pour 1000 heures de vol
Sans escale et sans toucher le sol
On voudra plus descendre
Et plus besoin d'aller dehors
Il fait meilleur à bord
En oubliant nos habitudes
On prend de l'altitude
Refrain(x2)
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(Pol Serge/Olivier Schultheis)
Je te donne à rêver l'ombre des rochers noirs
Où jadis enfant j'ai frémi de toi, de toi
La grâce et la fureur de l'océan ce soir
Et toute le jeunesse qu'encore il me doit
Je te donne à rêver ces mots comme des alcools
Ces paroles d'enfant qui font croire à la vie
La vie qu'on imagine sur les bancs de l'école
Où j'en tant voyagé que j'en ai mal appris
Qu'on ne pleure pas pour ma belle histoire
Que je garde cachée au creux de mes chimères
Je te la donne, ma belle histoire
Toi que même aujourd'hui j'aime encore de travers
Je te donne à rêver ce que serait la peine
Dans mon âme d'enfant caressée et trahie, trahie
Si un jour s'envolait l'oiseau bleu de me veines
Qui me fait préférer l'erreur à l'ennui
Qu'on ne pleure pas pour ma belle histoire
Que je garde cachée au creux de mes chimères
Je te la donne, ma belle histoire
Toi que même aujourd'hui j'aime encore de travers
Toi que même aujourd'hui j'aime encore de travers
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(Olivier Bron/Pierre-Etienne Michelin)
Je n'étais pas bien dans ma peau
Le ciel dessous le niveau de l'eau
Le cŒur, à faire peur
Aux cŒurs beaux, j'avais beau
Le faire beau ...
J'étais sans toi, sans toi
Que veux-tu, moi ça me tuera
Si tu préfères compter sans moi
J'avais perdu le fil des choses
Dans une mentale overdose
Des heures de compteurs
Crescendo, de zéro, à zéro...
J'étais sans toi, sans toi
Que veux-tu, moi ça me tuera
Si tu préfères compter sans moi
J'étais sans toi, sans toi
Que veux-tu, moi ça me tuera
Si de mon sang, le tien s'en va
Si tu préfères compter sans moi
Ne me laisse pas, comme ça
Comme ça
Comme ça
Parce que je n'étais pas bien dans ma peau
Le ciel dessous le niveau de l'eau
De l'eau
J'étais sans toi, sans toi
Que veux-tu, moi ça me tuera
Si tu préfères compter sans moi
J'étais sans toi, sans toi
Que veux-tu moi, ça me tuera
Si de mon sang, le tien s'en va
Si tu préfères compter sans moi
Ne me laisse pas comme ça
Comme ça
Comme ça
Comme ça
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(François Welgryn/Antoine Essertier)
Du bas des mauvaises passes que le sort peut heurter
Du haut des tours de Pise de trois cents milles étages
Du plus profond des trous où les âmes vont tomber
Du temps dès aujourd'hui comme du fond des âges
Entends-tu?
Entends-tu?
Entends-tu ?
Des flambantes étincelles
Que jette la vie moderne
Du quotidien rempli de tristes habitudes
De l'innocence perdue des enfants qui se traînent
Et du poids écrasant de l'éternelle solitude
Entends-tu?
Entends-tu?
Entends-tu ?
Refrain:
Entends-tu les voix
Entends-tu les pleurs
Entends-tu l'effroi
La sourde douleur
Entends-tu les hommes crier
Entends-tu les hommes crier
Entends-tu les hommes crier
Entends-tu les hommes ?
De l'infini d'hier qui chaque jour rétrécit
De tous les éléments qui échappent à leur loi
De toutes les différences qui nous font ennemis
De tous les rêves qui fondent sous un soleil trop froid
Entends-tu ?
Entends-tu ?
Entends-tu ?
Refrain
Entends-tu crier je t'aime
Entends-tu crier au secours
Entends-tu pleurer les peines
Entends-tu pleurer l'amour
Pleurer les airs, pleurer les eaux
Pleurer les frères, pleurer les animaux
L'espoir qui désespère et le vrai qui sonne faux
Entends-tu les hommes crier
Entends-tu les hommes crier
Entends-tu les hommes crier
Entends-tu les hommes?
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(Thierry Naoum/Luc de Wacter)
C'est de la chance que vient le beau
On veut toujours ce qui est si haut
On s'aime parfois plus que l'on vit
Ce qu'on sera sans illusion
Ces mots, ces gestes aussi complices
S'il y a des fois sans raisons
De drôles d'humeurs ou des questions
S'il est si dur de rester digne
Ce qu'on sera sans illusion
Ces mots, ces gestes aussi complices
Ce qu'on sera
De l'amour, de la tendresse
De la passion sans s'aimer trop
Ce qu'on sera
Des désirs, de la détresse
De la franchise pour être égaux
C'est évident que l'on s'empresse
De nos deux corps à fleur de peau
Ce qu'on sera
C'est de se dire qui nous empêche
Ce qu'on sera
D'ouvrir les yeux, de faire le pas
Viennent des choses que l'on ne voit
Si on ne peut pas toujours écrire
Ce qu'on sera sans illusion
Ces mots, ces gestes aussi complices
Ce qu'on sera
De l'amour de la tendresse
De la passion sans s'aimer trop
Ce qu'on sera
Des désirs, de la détresse
De la franchise pour être égaux
C'est évident que l'on s'empresse
De nos deux corps à fleur de peau
Ce qu'on sera
C'est de se dire qui nous empêche
Ce qu'on sera
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(Lionel Florence/Olivier Schultheis)
Des nuits devenues blanches
A se mordre les doigts
Même plus d'instinct de revanche
Ni goût à quoi que ce soit
Des gestes sans envie
Pourtant qu'il faut faire
Pour au moins rester en vie
Ou croire que c'est nécessaire
Et ronger ses remords
Encore
Puis tout arrive
Quand on n'attend plus
Et puis tout arrive
Sans rien voir venir
Savoir
Savoir qu'il restait l'imprévu
Et tout ce temps qu'on a Perdu
Des jours sans importance
Des heures que ne passent pas
Plus supporter le silence
Ni les autres qu'on revoit
Des paroles inutiles
Des conseils en l'air
Comment ça va, qu'en est-il ?
Tu sais l'amour c'est l'enfer
Alors qu'on n'est pas mort
Encore
Puis tu arrives
Quand j'y croyais plus
Et puis tu m'arrives
Sans me prévenir
Revoir,
Revoir comme je t'ai attendu
Que c'était pas du temps
Perdu
Puisque t'arrives
Puisque que tu m'arrives
Sans peur d'en souffrir
Te voir
Te voir comme si deux inconnus
S'étaient juste perdus
De vue
On oublie ce qu'on a vécu de pire
Toutes ces nuits où l'on voulait
En finir, en mourir
Parce que tout arrive
Quand on l'attend plus
Parce que tout arrive
Sans vous prévenir
Et voir
Et voir qu'il restait l'imprévu
A tout ce temps qu'on croit Perdu
Un jour arrive
Un jour arrive...
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(Xavier Pace/Cyril Paulus)
De domicile
Ou de mobile
Lever les voiles
Changer de ville
Changer de style
Quand on s'installe
Allongé pile
Couché face aux étoiles
C'est une envie verticale
Je veux changer d'air
Je veux changer de monde
Corps et âme
Tout laisser aux flammes
Libre et loin de tout
A des millions
De tous repères
Changer de son
Et d'univers
Laisser au sol
Sa vie d'hier
Quand on s'isole
Et changer d'atmosphère
C'est une envie ordinaire
Passer d'ombre à la lumière
Je veux changer d'air
Je veux changer de monde
Corps et âme
Tout laisser aux flammes
Libre et loin de tout
( refrain bis )
Défaire sa vie, et vouloir tout effacer
C'est une envie que rien ne fait passer
Changer de sort
Ou de décor
Changer d'hôtel
Pour une vie nouvelle
C'est une envie éternelle
Je veux changer d'air
Je veux changer de monde
Corps et âme
Tout laisser aux flammes
Libre et loin de tout
( refrain bis )
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(Thierry Amiel/Antoine Essertier/François Welgryn)
Pourquoi suis-je né
Pourquoi je vis
Le réveil a sonné
C'est encore aujourd'hui
Pourquoi j'en ai assez
Pourquoi j'en ai envie
Le soleil s'est levé
Et je suis toujours en vie
Pourquoi faut-il apprendre
A écrire, à lire, à compter
Pourquoi dois-je me rendre
A tout ces rendez-vous manqués
Pourquoi y a-t-il des choses qu'on oublie
dans un courant d'air
Pourquoi quand on mélange le jaune et le bleu ça fait vert
Pourquoi y-a-t'il des murs qui me séparent de mon voisin
Pourquoi ce Picasso alors que je n'y comprends rien
Pourquoi on nous rabâche des choses qu'on n'a pas demandées
Pourquoi on ne peut pas dire tout les mots que l'on a pensés
Pourquoi c'est la même fille a toute les une des magazines
Pourquoi ça fait pas bien de mettre un lit dans la cuisine
Refrain :
Deux milles ans sur terre
Pour 6 milliards et des poussières
Pourquoi suis-je né
Pourquoi je vis
Le réveil a sonné
C'est encore aujourd'hui
Pourquoi j'en ai assez
Pourquoi j'en ai envie
Le soleil s'est levé
Et je suis toujours en vie
Pourquoi pleut-il ce soir quand il fait beau à Tripoli
Pourquoi y-a-t'il des choses qu'on paie
et d'autres qui n'ont pas de prix
Pourquoi le ciel est plein de colombes alors que
l'on est jamais vraiment en paix
Pourquoi y-a-t'il des gens que
je connaîtrais jamais au grand jamais
Pourquoi je pleure chaque fois que Léo chante "Avec le temps"
Pourquoi je me sens perdu dans un univers si grand
Pourquoi y a t'il des fleurs, de la solitude, du soleil et des chiens
D'ailleurs c'est bientôt l'heure que j'aille sortir le mien
Refrain
Pourquoi on ne peut pas voyager à la vitesse de lumière
Pourquoi les diligences soulèvent toujours de la poussière
Pourquoi Dieu ne vient pas nous dire que tout finira bien
Pourquoi l'enfer pour tous et le paradis pour certains
Pourquoi hier c'était hier et demain on n'en sait rien
Pourquoi Sandrine fait 100 kg alors qu'elle le vaut bien
Pourquoi les rêves des autres ont toujours l'air tellement plus forts
Pourquoi je t'ai menti quand je t'ai dis que je t'aimais encore
Refrain
Pourquoi suis-je né
Pourquoi je vis
Le réveil a sonné
C'est encore aujourd'hui
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