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Nolwenn Leroy




Альбом Nolwenn Leroy


Nolwenn Leroy (2003)
2003
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Je ne t'ai pas vu partir
Ni entendu la porte claquer
C'est un peu facile à dire
Après quelques années

Je ne t'ai pas vu partir
Ton manteau est resté dans l'entrée
Depuis que je t'ai vu sourire
En me rendant les clefs,

Qu'après m'avoir dit en face
Les quatre ou cinq vérités
L'amour ça passe ou ça casse
Comme c'est déjà...

{chorus)
Cassé, oh oh cassé
Ça passera avec le temps
Ou quelqu'un d'autre
Cassé, oh oh cassé
Ça passera, ça prend du temps
Pour être une autre,
Je laisse la place à qui voudra

Je ne t'ai pas vu venir
Reprendre ton manteau démodé
Peut-être comme les souvenirs
Il était à jeter

Après me prendre en pleine face
Encore une autre vérité
L'amour ça passe ou ça lasse
Et puisque c'est déjà

{chorus}

Cassé, oh oh cassé
Oh oh

Ça passera avec le temps
Ou quelqu'un d'autre
Ou quelqu'un d'autre
Cassé, oh oh cassé

. . .


Il y a des vies pleines de sourires
Pas de couronne juste un avenir
Fait de sentiments, de rires d'enfants
Et de gestes touchants
Il y en a d'autres qui font souffrir
Où l'on interdit le désir
D'aimer simplement, il faut tout le temps
Se cacher d'être vivante

Etre une femme sur la terre
Qu'on soit reine, qu'on soit mère
Ou pieds nus sans prières
On est toujours
On est toujours solitaire
On est toujours solitaire

Le manque d'amour nous rend fragile
On marche souvent sur le même fil
Qu'est-ce qui nous attend, au fil du temps
Quand s'effacent tous nos printemps
On est ce qu'on vit, là-bas ici
Et la même chose nous unit

Etre une femme sur la terre
Qu'on soit reine, qu'on soit mère
Ou pieds nus sans prières
On est toujours, on est toujours solitaire
Etre une femme sur la terre
C'est l'amour ou l'enfer
C'est semer sans savoir
Le début d'une histoire

. . .


Suivre une étoile
Et se laisser porter au gré du vent
Lever les voiles
Sur les dériveurs, les vieux gréements

Et se remplir de l'air du temps
Dans nos courses en solitaires
Passagers perdus aux desseins différents...
Inventeurs, commis-voyageurs
On avance sans rien savoir
Amoureuses ou marins-pêcheurs
On va tous vers la même histoire...

Suivre une étoile
Me livrer pour elle à toutes les batailles
Lever les voiles
Contre le ciel, me sentir de taille

Et faire tomber les citadelles
Tous mes remparts virtuels
Quoi qu'il en soit
Chercher ma route de la Soie
Sur le chemin de Brocéliande
Sur les traces de Perceval
Je voudrais trouver ma légende
M'attacher à un idéal

Suivre une étoile
Et se laisser porter au gré du vent
Lever les voiles
Sur les dériveurs, les vieux gréements

Malgré la peur
Je veux garder pour mon coeur
Le meilleur... Le meilleur...
L'amour dans l'âme
A travers ce monde, je sens
Que quelqu'un m'attend...

Et rencontrer sur cette terre
Un peu d'amour solidaire
Quoi qu'il en soit
Chercher la route jusqu'à toi...

Suivre une étoile
Là-haut, là-haut, courir au gré du vent
Lever les voiles
Et hisser haut sur les vieux gréements
Suivre une étoile
Là-haut, là-haut, courir au gré du vent
Lever les voiles
Et hisser haut sur les vieux gréements

. . .


Là, je tourne en rond
Je passe mon temps
A chercher pourquoi ou comment
J'ai fait pour ne pas voir avant
Qu'il suffit de vivre au présent
Le passé est un vieil amant
Le futur un doux prétendant
Mais rien n'est suffisant

Là, je fais ma dernière overdose
Promis, je passe à autre chose
Je fais la paix à ce faux moi
L'égo dont il est, je ne suis pas
Je subis la métamorphose
De l'inévitable névrose
Soudain je me dépose

Immuable est le temps
Semblable à ce chant
Dans un coeur d'enfant
Qui s'en défend
Insondable et pourtant
C'est dans l'ici, le maintenant
Que la vie se prend
Inévitablement

Là, je ne tourne plus
Je parle comme si
Les mots n'étaients plus un défi
Mais l'indicible un vrai récit
N'en déplaise à Descartes aussi
Entre les mots et leur silence
Je trouve le véritable sens
Je suis, donc je pense

Immuable est le temps
Semblable à ce chant
Dans un coeur d'enfant
Qui s'en défend
Insondable et pourtant
C'est dans l'ici, le maintenant
Que la vie se prend
Inévitablement

Là, je fais ma dernière overdose
Promis, je passe à autre chose
Soudain je me dépose

Immuable est le temps
Semblable à ce chant
Dans mon coeur d'enfant
Qui s'en défend
Insondable et pourtant
C'est dans l'ici, le maintenant
Que la vie se prend
Inévitablement

Semblable à ce vent
Tout est dans le moment présent
Dispensé du temps
Dont on dépend
Minuscule et pourtant
C'est dans l'ici, le maintenant
Que rien ne fait plus mal
Rien ne nous fait plus mal
Rien ne nous fait plus mal
Inévitablement

. . .


Il faut décider de sa chance
A défaut de sa naissance
Et pleurer en silence
Le manque et l'absence
Quand j'oublie mon enfance
J'en perds toutes mes croyances
Parce qu'à force d'évidence
La vie n'a plus de sens

Jure-moi
Jure-moi tout ça
Et même si tu n'y crois pas
Même en croisant les doigts
Jure-moi
Jure-moi
Les mots qui font qu'on avance
Quand mon âme se fait violence
Jure-moi
N'importe quoi

J'ai tant vécu pour les flammes
Que je mourrai pour tes larmes
Tant pis si tu condamnes
Les fêlures de mon âme

Jure-moi
Jure-moi tout ça
Et même si tu n'y crois pas
Même en croisant les doigts
Jure-moi
Jure-moi
Les mots qui font qu'on avance
Quand mon âme se fait violence
Jure-moi
Jure-moi
Jure-moi tout ça

Même si tu n'y consens pas
Même en touchant du bois
Jure-moi
Jure-moi
Le ciel dans toutes ces urgences
Quand ma vie se fait violence
Jure-moi
N'importe quoi

. . .


Qu'on vienne en fanfare
Qu'on arrive à pas de loup
On est toujours sur le départ
Mais on sait qu'on ira jusqu'au bout

On passe sa vie
A demander qui on est
A se chercher quelques envies
A tout laisser partir en fumée
On peut si on ose
Rêver d'autre chose

Vu d'en haut
Il n'y a que de l'air et de l'eau
Il n'y a ni chaînes ni barreaux
Vu d'en haut
Vu d'en haut
Une vie sans frontières et sans drapeaux
Je ne vois que la lumière de quelques flambeaux
Vu d'en haut

On vient de nulle part
Pour se rendre n'importe où
On ne laisse rien au hasard
Quoiqu'on fasse on ira jusqu'au bout

On passe sa vie
A se battre pour du vent
A vouloir gagner à tout prix
On se perd en route le plus souvent
On peut si on ose
Vouloir autre chose

Vu d'en haut
Il n'y a que de l'air et de l'eau
Il n'y a ni chaînes ni barreaux
Vu d'en haut
Vu d'en haut
Une vie sans frontières et sans drapeaux
Je ne vois que la lumière de quelques flambeaux
Vu d'en haut

On peut si on ose
Rêver d'autre chose
Vu d'en haut
Il n'y a que de l'air et de l'eau
Je ne vois que la lumière de quelques flambeaux

Vu d'en haut
Qu'on vienne en fanfare
Qu'on arrive à pas de loup
On est toujours sur le départ
Mais on sait qu'on ira jusqu'au bout

. . .


De l'amour en flacon
En cadeau tous les ans
Et du monde au balcon
Pour se fondre dedans
Du bonheur vaporeux
Qui nous suvrait partout
Eclatant et moelleux
Pour s'endormir dessous

C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour une vie plus belle, des souhaits
Des souhaits, à rêver doucement
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour des matins plus doux
De l'amour sans délai
A bercer patiemment
Des lendemains plus beaux
Pour un destin plus grand

Du silence, au compte gouttes
Qui nous rendrait humain
Des questions et des doutes
Pour se tendre la main
Des rêves en ribambelles
Pour se sentir vivant
Et des rires à la pelle
Pour se blottir dedans

C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour une vie plus belle, des souhaits
Des souhaits, à rêver doucement
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour des matins plus doux
De l'amour sans délai
A bercer patiemment
Des lendemains plus beaux
Pour un destin plus grand

C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour des matins plus clairs
De l'amour sans délai
A faire en chuchotant
Une étoile aussi chaude que notre monde est grand
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour ne plus avoir froid
Aimer comme on respire
Aimer infiniment

C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour desserrer les poings
S'enivrer de bonheur jusqu'à épuisement
Des lendemains plus beaux pour un destin plus grand

. . .


Il y a dans mon coeur
Une femme qui attend
Le bon moment et l'heure
Pour offrir ses présents

Il y a dans mes yeux
Bien assez de tourments
De courage et d'aveux
Pour dire ce que je pense

Une femme cachée à l'intérieur de moi
Une femme cachée prête à tous les combats
Voudrait qu'à son réveil tu entendes sa voix
Et que tu sois là...

Et lorsque je me tais
Je fais dire au silence
Ce que je veux crier
Avec ou sans violence

Il y a dans mon coeur
Une femme qui danse
Heureuse du bonheur
De sortir de l'enfance

Une femme cachée à l'intérieur de moi
Une femme cachée prête à tous les combats
Voudrait qu'à son réveil tu entendes sa voix
Et que tu sois là pour lui tendre les bras

Une femme cachée à l'intérieur de moi
Une femme cachée prête à tous les combats
Voudrait qu'à son réveil tu entendes sa voix
Et que tu sois là pour lui tendre les bras

. . .


Je ne te dirai jamais
Où mes désirs m'emportent
Combien mon corps me hait
Quand je ferme ta porte
Et que tu frôles sans cesse
Sans vraiment le sentir
Qui souffre de l'ivresse
Des mots à ne pas dire

Je ne te dirai jamais
Où mes désirs m'enlèvent
Combien mon corps me hait
Quand je détruis ces rêves
Lui qui sent la chaleur
De tes regards cachés
Qui s'embrase de chaque heure
Passée à tes côtés

Si tu savais
Contre quoi je me bats
Ce parfum que tu laisses
Chaque fois
Le combat
Que je mène pour ne pas
Finir contre toi
Finir contre toi
Finir contre toi

Les pièces sont des alcôves
Quand ton souffle m'enlace
Il faut que je me sauve
Du désir qui me casse
Et mon corps me maudit
Il tangue comme un radeau
Enivré, démoli
Par cette passion de trop

Si tu savais
Contre quoi je me bats
Ce parfum que tu laisses
Chaque fois
Le combat
Que je mène pour ne pas
Finir contre toi
Finir contre toi
Finir contre toi

Je ne te dirai jamais
Je ne te dirai jamais
Si tu savais contre quoi
Je me bats
Le combat que je mène pour ne pas
Finir contre toi
Finir contre toi
Finir contre toi
Je ne te dirai jamais
Où mes désirs m'emportent
Je ne te dirai jamais

. . .


Laisser la clé
Sous la porte
De la chambre immobile
Et refermer le piano
Quitté, quitté
Sans nouvelles
Notre amour sur le fil
N'a pas eu le dernier mot
J'ai la vie qui baisse
Sous mes bas qui blessent
Aller, aller
N'importe où
Mais le corps impossible
Pour changer l'ancienne adresse
Oublier tout ce qui reste
Rayer l'émotion inutile

Quand notre coeur est trop fragile
Effacer toutes les caresses
Dans un dernier geste
Rayer les mentions inutiles

Au rouge à lèvres, au noir des cils
Souligner seulement la liesse
Pour qu'enfin elle apparaisse
Touchée, touchée
Je m'emporte
Vers d'étranges presqu'îles
Je sors ma peine de l'eau
Lever, lever
Tout le voile
Sans penchant, je m'incline
Autant baisser le rideau
Maintenant qu'on s'efface
Que le temps menace
Passé, passé
Tout l'émoi et les jours difficiles
Les souvenirs on les chasse
Quand on a perdu sa place
Rayer l'émotion inutile

Quand notre coeur est trop fragile
Effacer toutes les caresses
Dans un dernier geste
Rayer les mentions inutiles
Rayer l'émotion inutile

Quand notre coeur est trop fragile
Effacer toutes les caresses
Dans un dernier geste
Rayer les mentions inutiles

Au rouge à lèvre, au noir des cils
Souligner seulement la liesse
Pour qu'enfin elle apparaisse
Passé, passé
Passé, passé
Passé, passé

. . .


Il y a des jours
Des jours où les dieux vous oublient
Où certains souvenirs vous pèsent
Des jours qu'il ne faudrait pas vivre
Où mettre entre parenthèses
Juste un jour
Que j'ai rayé
Pour toujours
14 février

Il y a des jours
Des jours qui sont des ennemis
Pire que des vendredis 13
Des jours qui passent au ralenti
Sans que les pendules se taisent
Juste un jour
Du calendrier
Juste un jour
14 février

Quand on sait le temps
Quand on sait le mal
Que ça demande - pour oublier
Quand on sait le vide
Quand on vit ce manque
En attendant - de ne plus aimer
De ne plus aimer

Il y a des nuits
Qu'on ne voudrait pas voir venir
Vous mettent au bord d'une falaise
Des nuits trop blanches pour s'enfuir
Parce qu'elles vous rendent mal à l'aise
Comme ce jour
Du sablier
Juste un jour
14 février

Quand on sait le temps
Quand on sait le mal
Que ça demande - pour oublier
Quand on sait le vide
Quand on vit ce manque
En attendant - de ne plus aimer

Quand on sait le temps
Quand on sait le mal
Que ça demande - pour oublier
Quand on sait le vide
Quand on vit ce manque
En attendant - de ne plus aimer

. . .


Il y a des heures qui s'étirent en longueur
Comme des pleurs éperdus
Et il y en a que l'on ne retient pas
Qui déjà ont disparu
Puis il y a celles qui sont intemporelles
Qui échouent hors du temps
Dans ce moment de secondes éternelles
C'est là où tu comprends

Qui mieux que moi
Saura t'aimer
Qui mieux que moi
Qui mieux que moi
Qui mieux que moi
Saura de tes faux-pas te pardonner
Qui mieux que moi ne demandera rien
Effacera ses désirs pour les tiens
Qui mieux que moi sera bête à ce point
Pour mieux t'aimer

Dans quel pays sous quels cieux infinis
Tes rêveries vagabondes
Pour le trésor que tu convoites encore
Nul besoin d'un tour du monde
Si être un ange c'est quelques fois étrange
J'irai où tu voudras
Même si parfois j'aimerais que cela change
Je l'avoue, j'aime ça

Qui mieux que moi
Saura t'aimer
Qui mieux que moi
Qui mieux que moi
Qui mieux que moi
Saura de tes faux-pas te pardonner
Qui mieux que moi ne demandera rien
Effacera ses désirs pour les tiens
Qui mieux que moi sera bête à ce point
Pour mieux t'aimer

. . .


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