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Najoua Belyzel




Альбом Najoua Belyzel


Entre deux mondes (29.05.2006)
29.05.2006
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Il ne suffit pas
Que l'on s'en sorte toi et moi
Pour que s'efface ma douleur
Le Monde est si mal ici bas

Je veux l'Amour universel
Le seul, le vrai, retrouver l'étincelle
A genoux je m'adresse au matriciel
A genoux... en sang

Je ferme les yeux, je ferme les yeux
Je sais qu'il m'entend
Je ferme les yeux, oui, je ferme les yeux
L'espoir me reprend

Mais s'il ne s'agit pas
De s'aimer plus fort toi et moi
Ô mon amour
Pardonnes-moi
je me sens si mal ici bas

Je tend les mains vers la lumière
Pour que renaissent des jardins d'Eden
A fleur de peau j'implore l'éternel
A genoux... en sang

Je ferme les yeux, je ferme les yeux
Je sais qu'il m'entend
Je ferme les yeux, oui, je ferme les yeux
L'espoir me reprend

Je crois en vous, je crois en moi... (x2)

Je ferme les yeux, je ferme les yeux
Je sais qu'il m'entend
Je ferme les yeux, oui, je ferme les yeux
L'espoir me reprend

Je ferme les yeux, je ferme les yeux
Je ferme les yeux, je ferme les yeux
L'espoir me reprend

Je ferme les yeux

. . .


Y a ceux qui se jettent à mes pieds
Qui m'empêchent de marcher.
Comme ceux qui se disent mal aimés
Que je n'ai pas consolé
Et chaque jour c'est sans retenue
Qu'ils parlent d'Amour sans l'avoir connu...
Je les entend m'appeler tout bas
Mais je ne réponds pas !

Car c'est toi qui me va
Qui sait me parler
Dans tes bras, je reçois
L'amour que j'espérais.
Ce n'est pas que tu sois le plus beau,
Mais celui qu'il me faut
Pour des milliers d'Années !

Y a ceux qui me disent en danger
A nous voir enlacés.
Comme ceux qui voudraient m'enfermer
Pour voiler mes pensées
Je me fous bien de ce qu'on dit de moi!
Sur mon chemin je n'écoute que toi
Si je m'enfuis en pressant mes pas ,
C'est que je viens vers toi...

Car c'est toi qui me vas !
Qui sait me parler!
Dans tes bras, je reçois
L'amour que j'attendais.
Ce n'est pas que tu sois sans défauts!
Mais celui qu'il me faut
Pour des milliers d'Années...

J'ai trouvé l'âme sŒur, ma moitié à tes côtés,
Je n'ai pas d'autres cŒur à croiser...

Car c'est toi qui me vas !
Qui sait me parler
Dans tes bras je reçois
L'amour que j'attendais
Ce n'est pas que tu sois le plus beau
Mais celui qu'il me faut
Pour des milliers d'Années

Ce n'est pas que tu sois sans défauts!
Mais celui qu'il me faut
Pour des milliers d'Années !

. . .


La capitale
Me fait du mal!
Elle s’amuse à me voir souffrir...
Elle m’emprisonne,
Puis m’empoisonne...
Me joue des tours pour qu’j’aie le spleen!

Privée d’horizon,
Je perds la raison
Et tout les rêves qui me guident.
Et c’est de la peine
Qui coule dans mes veines,
Qui met en scène
Tous les regrets!

J’envoie des bons baisers de Paris !
Des jours fanés,
Des nuits d’insomnies!
Des maux, des bons baisers de Paris
Du manque d’air sur papier jaunie...

Des ballons éclates,
Par des griffes acérés
Du peu d’amour, du peu d’amour…
J’envoie du gout amer.
Un désir sans mystère,
Et peu d’amour, si peu d’amour…

J’ai peur des clones,
Du train fantôme,
De leur regards de condamné!
Et où que j’aille
Quand je déraille
Je me sent toujours comme surveillée.

12 mois d’hivers,
Un ciel sans lumières,
Et plus d’étoiles pour m’épauler!
Où ce cache la vie
Qu’on m’avait promise ?
Vers quel chemin se diriger ?

J’envoie des bons baisers de Paris !
Des jours fanés,
Des nuits d’insomnies!
Des maux, des bons baisers de Paris
Du manque d’air sur papier jaunie...

Des ballons éclates,
Par des griffes acérés
Du peu d’amour, du peu d’amour…
J’envoie du gout amer.
Un désir sans mystère,
Et peu d’amour, si peu d’amour…

La capitale me fait du mal…
La capitale me fait du mal…

. . .


Non je ne suis pas
Comme... comme... comme toi !
Mais pas cette fois
Comme... comme... comme toi !

Cracher des mots d'Amour
Sur celui que l'on aime.
Verser dans son discours
Un parfum de haine...

Jouer des mauvais tours,
Se prendre pour la reine,
Chercher à rendre fou,
Quand on perd haleine!

Tout contre toi pour exister,
Je m'imprégnais non sans regrets
De tout ce mal que tu m'as fait...

Mais je ne suis pas
Comme... comme... comme toi !
Mais pas cette fois
Comme... comme... comme toi !

J'effacerai pour toujours
Ton âme de la mienne.
Et quand naîtra ce jour
Je ne serai plus la même!

Tout contre toi j'irai briser,
Les miroirs où se reflété
Ton regard qui me poursuivais

Mais je ne suis pas
Comme... comme... comme toi !
Mais pas cette fois
Comme... comme... comme toi !

Cracher des mots d'Amour
Sur celui que l'on aime.
Chercher à rendre fou
Quand on perd haleine...
Qu'importe que revienne,
Ces pensées qui m'aliène...
Je saignerai me veines pour soigner mes peines !

. . .


Sans couleur, sans saveur
Ces gens là, devant moi
Pas d'écho dans mon coeur
A part toi, rien que toi

Je voudrais m'inventer des ailes
Et toujours fuir dès qu'on m'appelle
Pour renaître avec toi
Sous un ciel baigné de lumière
Et ne faire qu'une seule prière

C'est comme si tu portais
Le seul amour qui saurait
Me guider pour faire enfin de toi
L'homme que j'attendais
Celui qui révèlerait
Cette femme qui vit si fort en moi

Quatre murs élevés
Contre toi, contre moi
Pas la force de crier
Prisonnière, sans ta voix

Les jours se meurent en semaine
Qui s'éternise et quand je saigne
Je doute, oh loin de toi
Je ne suivrais que tes mystères
Car je ne sais qu'une prière

C'est comme si tu portais
Le seul amour qui saurait
Me guider pour faire enfin de toi
L'homme que j'attendais
Celui qui révèlerait
Cette femme qui vit si fort en moi

Vile ciel, tu m'appelles
Entends moi, réponds moi
Et que brûle des soleils
Pour illuminer nos pas
Que résonne toute notre écho du bonheur

C'est comme si tu portais
Le seul amour qui saurait
Me guider pour faire enfin de toi
L'homme que j'attendais
Celui qui révèlerait
Cette femme qui vit si fort en moi

. . .


Gabriel
Gabriel, j'attends
Un peu de sentiments
Que ton âme se jette à l'eau
Dans mon corps océan

Du zéphyr, du vent
Tu mens comme un enfant
Et tu fuis vers tout là-haut
Dès que ton ciel se fend

Es-tu fait pour lui
Es-tu fait pour moi
Je n'attends qu'un signe de toi
Si tu as le mal de lui
J'ai le mal de toi
Qu'il en soit ainsi mais dis-moi, dis-moi

Es-tu fait pour lui
ES-tu fait pour moi
Je n'attends qu'un signe de toi
Si tu as le mal de lui
J'ai le mal de toi
Dis-moi oh oh oh oh

Gabriel
Mon roi
Mon ange en qui je crois
Si l'amour vient de là-haut
Sauras-tu faire un choix oh oh

Tu sais fuir
Tu meurs
La fièvre dans le sang
Moi je prie pour qu'à nouveau
Tu me reviennes à temps

Es-tu fait pour lui
ES-tu fait pour moi
Je n'attends qu'un signe de toi
Si tu as le mal de lui
J'ai le mal de toi
Qu'il en soit ainsi mais dis-moi, dis-moi

Es-tu fait pour lui
Es-tu fait pour moi
Je n'attends qu'un signe de toi
Si tu as le mal de lui
J'ai le mal de toi, dis-moi

Gabriel

Gabriel, s'attend
A plus qu'un sentiment
Qu'un plaisir brûle sa peau,
Les deux ailes en avant

Es-tu fait pour lui
Es-tu fait pour moi

Es-tu fait pour lui
Es-tu fait pour moi

Gabriel...

. . .


Tu as le droit d'allumer tous les regards
D'embrasser le hasard, consumé dans un couloir
Et j'accepte l'aventure
Qui te construit en rupture

Mais Stella reste avec moi
Je connais tes blessures
Bien mieux que toi
Tu n'est pas malade crois moi
Mais je vais te soigner tu verra Stella
Meme si les autres que tu voit disent ca
Que tu est plus folle que moi Stella

Tu as le droit de te conduire comme ca
De masquertes faux pas, s'ils te ramenent tous vers moi
Et j'accepte ton allure
Sans un mot au pied du mur

Mais Stella reste avec moi
Je connais tes blessures
Bien mieux que toi
Tu n'est pas malade crois moi
Mais je vais te soigner tu verra Stella
Meme si les autres disent que tu est plus folle que moi Stella

Je te suis a genoux qu'importe les coups
Que tu donneras O ma Stella
Les autres on s'en fout ceux qui parlent de nous
Et qui rien de moi O ma Stella, Stella, Stella

Stella reste avec moi
J'ai pansé tes blessures
Rien que pour toi
Tu n'est pas malade crois moi
Mais je vais te soigner tu verras Stella
Et s'il faut mourrir d'un combat
Je me bats pour toi
Tu est la soeur que je n'est pas O Stella O Stella

Stella Ô Stella

. . .


De la glace empêche ton coeur
D'inspirer le bonheur.
Tu dérive soufflé par erreur
Dans l'impasse de la peur.
De l'amour, tu manques par défaut.
Mais si l'on t'en donne trop,
Comme toujours tu tournes le dos
Sans même glisser un mot...

Les faiblesses que tu crois nous cacher
T'enchaînes en secret.
Et te laissent des instants écorchés,
Et des maux mal soigné...

Oui, à t'entendre la vie est un cadeau!
Et tu dis qu'il te faut
Eviter tout ce qui sonne faux,
Pour trouver le repos.

Les promesses que tu ne tiens jamais
Cent fois sans regret
Et nous laisse comme un peu prisonnier
De tes maux mal soignés

Les promesses que tu ne tiens jamais
Cent fois sans regret...
Et nous laissent comme un peu prisonnier,
De tes maux mal soignés...

Comme des feuilles qui tombent en tempo,
C'est l'automne sur ma peau.
Je fais le deuil de vouloir a nouveau
T'envoyer mes échos.
A quoi servent ces histoires qu'on se crée
Si rien n'est changé?
Il nous reste de ces moments partagés,
Que des maux mal soignés...
Que des maux mal soignés...

. . .


Soldats réveillez-vous...
Jetez vos armes pauvres fous !
On vous donne la victoire
Cessez le feu, à vous la gloire
Mais...
Soldats rentrez chez vous !
Avant que vos veuves à genoux
N'aillent chercher le bonheur
Qui s'enfuit toujours vivre ailleurs

Rentrez aux U.S.A.
On vous attend là-bas
On est si bien chez soi
Qu'aucun sang pur ne soit versé
Ni même impure dans vos pensées
Qu'aucune larme vienne se noyer
Dans les tourments, ni les regrets

Soldats qu'en pensez-vous ?
N'écoutez pas la voix des fous
Ni ceux qui vous laissent croire
Qu'entre vos mains se fait l'histoire
Mais...
Soldats priez pour nous
Pour qu'on s'en sorte malgré vous...
Malgré tout
Et qu'au sein même de nos coeurs
Naisse du pire le meilleur

Rentrez aux U.S.A.
On vous attend là-bas
On est si bien chez soi
Qu'aucune lame, même aiguisée
Ne vienne trancher pour des idées
Qu'aucune vie ne soit fauchée
Pour un semblant de vérité

Oh soldats !
Hey soldats !
Oh soldats !
Rentrez aux U.S.A.

Ha ha ha hahahaha...

Rentrez aux U.S.A.

. . .


Mon sang le tiens...
Manque a ce que je deviens,
Quand le temps me retient,
Je me souviens tres bien.
Ma place mon exil,
Ne me remplace pas,
Pour un sentiment fragile
Qui c'est glissé en moi...

Garde moi parce que je fuis!
Ce que je suis se meurt...
Parle moi parce que je pleure!
Pardonne mes erreurs...

Mon sang mon sang...
Avec toi mes premier pas
Qui d'autre comme temoin,
Ou coupable sinon toi?
Ma trace mon fil...
Seras tu la demain?
Si je cherche un asile
Où l'amour prend nos mains...

Garde moi parce que je fuis!
Ce que je suis se meurt...
Parle moi parce que je pleure!
Pardonne mes erreurs...

Mon sang le tiens...
Manque a celle que je deviens...
Manque a celle que je deviens...

Et je fuis...
Et je pleure...
Et je fuis...

. . .


Dès que reviens le mauvais temps
je repense a mes souffrances
et me revois là enfant, recevant en silence
les caresses d'un grand, les caresses d'un grand...

Comment dévoiler mes secret?
A qui me confesser?
par pudeur moi j'ai tout fais
A l'idée d'avouer
les caresses d'un grand, les caresses d'un grand...

{Refrain:}
Mais Docteur Gel, medecin, c'est à moi
non il ne t'appartient pas, d'y toucher comme ca...
Docteur Gel, plus malade que moi
Il fait si froid sous tes doigts
pourquoi ça? dis moi, dis moi, dis moi...

et a tous ceux qui se reconnaissent
dans mes mots, mes faiblesses
fuyez avant qu'on vous blesse, avant que vous agressent
les caresses d'un grand, les caresses d'un grand

{au Refrain}

Des que reviens le mauvais temps
je pense a mes souffrances...
Docteur Gel, Docteur Gel, Docteur Gel
mais Docteur Gel, plus coupable que moi
il fait si froid sous tes doigts
plus malade que moi...

Dès que reviens le mauvais temps
Je pense a mes souffrances...

. . .


Papa, maman
Je vous deteste
Vous avez agit
Comme deux pestes
Vous aurez pu vous retenir
Pour m'éviter d'connaître le pire

Maman, papa
Avez-vous hontes
D'avoir donc comis
Là, cette faute
Vous êtes mes premiers boureau
Ricanant autour de mon berceau
Voici la berceuse
Qui résonne sans cesse dans ma tête creuse
grâce à vous pardi
J'en veux à l'amour
J'en veux à la pluie
Je me sens maudite
Voici la berceuse qui me saigne, l'envie

Papa, maman
Quelle faiblesse
Vous m'avez conçu
D'amour détresse
Et me voila comme prisonnière
De ma chaire et de mes pensées

Maman, papa
J'fesait la fête
Vous possant même jusqu'a l'éprouvette
Mais vou n'avez donc rien compris
Je n'voulais pas goutter la vie
Voici la berceuse
Qui résonne sans cesse dans ma tête creuse
Grâce à vous pardi
J'en veux à l'amour
J'en veux à la pluie
Je me sens maudite
voici la berceuse qui me saigne, l'envie

Papa, maman
Je vous déteste
Mais je vous aime.

. . .


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