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Mylène Farmer
Mylène Farmer


Информация
Настоящее имя Mylène Jeanne Gautier
Дата рождения 12 сентября 1961 г.
Откуда Montreal, Quebec, Canada
Жанры Pop
Electronica
Rock
Годы 1984—н.в.
Лейблы Polydor
См. также Seal
Moby
Archive
Alizée
Jean-Louis Murat



Альбом Mylène Farmer


En Concert [Live] (1989)
1989
1.
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16.
Mouvements De Lune (Part 1)
17.
18.
Mouvements De Lune (Part 2)
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instrumental

. . .


Horloge! dieu sinistre, effrayant, impassible
Dont le doigt nous menace et nous dit "Souviens-toi!
Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi
Se planteront bientôt comme dans une cible;

"Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon
Ainsi qu'une sylphide au fond de sa coulisse;
Chaque instant te dévore un morceau du délice
A chaque homme accord‚ pour tout sa saison.

"Troi mille six cent fois par heure, la Seconde
Chuchote: Souviens-toi! - Rapide, avec sa voix
D'insecte, Maintenant dit: Je suis Autrefois,
Et j'ai pompé ta vie avec ma trompe immonde !

"Remember! Souviens-toi, prodigue Esto memor!
(Mon gosier de métal parle toutes les langues.)
Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues
Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or!

"Souviens-toi que le temps est un joueur avide
Qui gagne sans tricher, à tout coup! c'est la loi.
Le jour décroit; la nuit augmente, souviens-toi!
Le gouffre a toujours soif: la clepsydre se vide.

"Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard,
Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge,
Où le repentir même (oh! la dernière auberge!),
Où tout te dira: Meurs, vieux lâche! il est trop tard!"

. . .


Petit rien, petit bout,
De rien du tout
M'a mise tout sens dessus dessous
A pris ses jambes à son cou

Petit rien, petit bout,
la vie s'en fout
Dans mes draps de papier tout délavés
Mes baisers sont souillés

Plus grandir,
J'veux plus grandir
Plus grandir
Pour pas mourir
Pas souffrir
Plus grandir
J'veux plus grandir
Pour les pleurs d'une petite fille

Jeux de mains, jeux de fous
C'est pas pour nous
Suspendue au lit comme une poupée
Qu on a désarticulée, Eh!
Petit rien, petit bout
de rien du tout
Reviens dans mes images, j'me suis perdue
Après, je n'sais plus

Plus grandir,
J'veux plus grandir
Plus grandir
Pour pas mourir
Pas souffrir
Plus grandir
J'veux plus grandir
Pour les pleurs d'une petite fille

. . .


Si Dieu nous fait à son image si c'était sa volonté
Il aurait du prendre ombrage du malin mal habité
Qui s'immisce et se partage l'innocence immaculée
De mon âme d'enfant sage je voudrais comprendre

De ce paradoxe, je ne suis complice
Souffrez qu'une autre en moi se glisse
Car sans logique je me quitte
Aussi bien satanique qu'Angélique

Si chaque fois qu'en bavardages nous nous laissons dériver
Je crois bien que d'héritage mon silence est meurtrier
Vous me découvrez blafarde fixée à vos yeux si tendres
Je pourrais bien par mégarde d'un ciseau les fendre

De ce paradoxe, je ne suis complice
Souffrez qu'une autre en moi se glisse
Car sans logique je me quitte
Aussi bien satanique qu'Angélique

. . .


Un maman a tort
Deux cґest beau lґamour
Trois lґinfirmière pleure
Quatre je lґaime
Cinq il est dґmon droit
Six de tout toucher
Sept jґmґarréte pas là
Huit jґmґamuse

Un quoiquґmaman dise
Deux elle mґoubliera
Trois les yeux mouillés
Quatre jґai mal
Cinq je dis cґque jґveux
Six jґsuis malheurese
Sept jґpense pas souvent
Huit et vous?

Jґaime ce quґon mґinterdit.
Les plaisirs impolis
Jґaime quand elle me sourit.
Jґaime lґinfirmière maman

Un jґsuis très sereine
Deux et jґai bien fait
Trois dґvous en parler
Quatre jґmґamuse
Cinq quoiquґmaman dise
Six elle ètait belle
Sept cette infirmière
Huit je lґaime

Un lґinfirmière chante
Deux ça mґfait des choses
Trois comme lґalouette
Quatre jґai peur
Cinq cґest dur la vie
Six pour un sourire
Sept jґen pleure la nuit
Huit et vous?

Jґaime ce quґon mґinterdit.
Les plaisirs impolis
Jґaime quand elle me sourit.
Jґaime lґinfirmière maman

Un maman a tort
Deux cґest beau lґamour
Trois lґinfirmière pleure
Quatre je lґaime
Cinq maman a tort
Six cґest beau lґamour
Sept à lґhôpital
Huit jґai mal


. . .


Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez me convoiter, me désirer, me captiver
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Mais ne soyez pas comme, tous les hommes, trop pressés.
Et d'abord, le regard
Tout le temps de prélude
Ne doit pas être rude, ni hagard
Dévorez-mos des yeux
Mais avec retenue
Pour que je m'habitue, peu à peu...
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez m'hyptoniser, m'envelopper, me capturer
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Avec délicatesse, en souplesse, et doigté
Choisissez bien les mots
Dirigez bien vos gestes
Ni trop lents, ni trop lestes, sur ma peau
Voilà ça y'est, je suis
Frémissante et offerte
De votre main experte, allez-y...
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Maintenant tout de suite, allez vite
Sachez me posséder, me consommer, me consumer
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Conduisez-vous en homme
Soyez l'homme...Agissez!
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Et vous...déshabillez-vous!

. . .


Puisque je vais vous quitter ce soir
Puisque vous voulez ma vie
Je l'ai compris

Puisque ma vie n'est qu'un long sursis
Je veux un nouveau berceau le paradis

Lasse je m'efface
Lasse je m'efface

Si nous n'avons plus à nous dire
Sans rougir je peux l'écrire
Je vous amais

Puisque plus rien ne peut me blesser

Aux gens qui ne savent aimer
Je vais sourire

Lasse je m'efface
Lasse je m'efface


. . .


EH MEC!
Ton regard oblique
En rien n'est lubrique
Ta maman t'a trop fessé
Ton goût du revers
N'a rien de pervers
Et ton bébé n'est pas fâché

Ton kamasutra
A bien cent ans d'âge
Mon dieu que c'est démodé
Le nec plus ultra
En ce paysage
C'est d'aimer des deux côtés

Ta majesté
Jamais ne te déplaces!
Sans ton petit oreiller
A jamais je suis
Ton unique classe
Tout n'est que prix à payer

Tu fais des Ha! des Ho!
Derrière ton ouvrage
Quand mon petit pantalon
Debout et de dos
Sans perdre courage
Dénude tes obsessions

Tu t'entête à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un poète tu n'as que la lune en tête
De mes rondeurs tu es KO!
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un esthète tu n'as gardé qu'un air bête
Tout est beau si c'est vu de dos

OK!
Prose ou poésie
Tout n'est que prétexte
Pas la peine de t'excuser
Muse ou égérie
Mes petites fesses
Ne cessent de t'inspirer

Je fais des Ha! des Ho!
Jamais ne me lasse
Par amour pour un toqué
Ne faut-il pas que
Jeunesse se passe
A quoi bon se bousculer?

Tu t'entête à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un poète tu n'as que la lune en tête
De mes rondeurs tu es KO!
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un esthète tu n'as gardé qu'un air bête
Tout est beau si c'est vu de dos

. . .


Pauvres poupées
Qui vont qui viennent (Allan Allan)
Pauvre fantôme
Etrange et blême (Allan Allan)
J'entends ton chant monotone
La nuit frissone (Allan Allan)
J'entends ton coeur fatigué
D'avoir aimé (Allan Allan)

D'étranges rêveries comptent mes nuits
D'un long voyage où rien ne vit
D'étranges visions couvrent mon front
Tout semble revêtu d'une ombre
L'étrange goùt de mort
S'offre mon corps
Saoûle mon âme jusqu'à l'aurore
L'étrange Ligeia renaît en moi
De tout mon être je viens vers toi!

Masque blâfard
Tu meurs ce soir (Allan Allan)
Masque empourpré
De sang séché (Allan Allan)
D'où vient ta peur du néant
Tes pleurs d'enfant (Allan Allan)
Qui sont les larmes
De tes tourments? (Allan Allan)

D'étranges rêveries comptent mes nuits
D'un long voyage où rien ne vit
D'étranges visions couvrent mon front
Tout semble revêtu d'une ombre
L'étrange goût de mort
S'offre mon corps
Saoûle mon âme jusqu'à l'aurore
L'étrange Ligeia renaît en moi
De tout mon être je viens vers toi!...

. . .


Poussière vivante, je cherche en vain ma voie lactée
Dans ma tourmente, je n'ai trouvé qu'un mausolée
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais... des pages vides

Poussière errante, je n'ai pas su me diriger
Chaque heure demande pour qui, pour quoi, se redresser
Et je divague
J'ai peur du vide
Pourquoi ces larmes
Dis... à quoi bon vivre...

(Refrain)

Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout
Et qui peut dire dans cet enfer
Ce qu'on attend de nous, j'avoue
Ne plus savoir à quoi je sers
Sans doute à rien du tout
A présent je peux ma taire
Si tout devient dégout

Poussière brûlante, la fièvre a eu raison de moi
Je ris sans rire, je vis, je fais n'importe quoi
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais... des pages vides

(Refrain)

. . .


Puisqu'il faut choisir,
A mots doux je peux le dire,
Sans contrefaçon
Je suis un garçon
Et pour un empire,
Je ne veux me dévêtir,
Puisque sans contrefaçon,
Je suis un garçon

Tout seul dans mon placard
Les yeux cernés de noir
A l'abri des regards
Je défie le hasard
Dans ce monde qui n'a ni queue ni tête
Je n'en fais qu'a ma tête
Un mouchoir au creux du pantalon
Je suis chevalier d'Eon

Puisqu'il faut choisir,
A mots doux je peux le dire,
Sans contrefaçon
Je suis un garçon
Et pour un empire,
Je ne veux me dévêtir,
Puisque sans contrefaçon,
Je suis un garçon

Tour à tour on me chasse de vos fréquentations
Je n'admet qu'on menace mes résolutions
Je me fous bien des qu'en-dira-t'on
Je suis caméléon
Prenez garde à mes soldats de plomb
C'est eux qui vous tueront

Puisqu'il faut choisir,
A mots doux je peux le dire,
Sans contrefaçon
Je suis un garçon
Et pour un empire,
Je ne veux me dévêtir,
Puisque sans contrefaçon,
Je suis un garçon


. . .


Petit bonhomme
Ne sourit plus
La vie en somme
T'as bien déçu
Ton corps balance
Au vent de soir
Comme une danse
Un au revoir

Monte sur l'arbre
Comme un oiseau
Pour que ton âme
Monte plus haut...

Petit bonhomme
S'est endormi
Comme une pomme
On t'a cueilli
Ta tête penche
Est-ce pour me voir?
Au loin balance
La corde noire.

Monte sur l'arbre
Comme un oiseau
Pour que ton âme
Monte plus haut...

Baia Iaiaia Baia Iaiaaa
Baia Iaiaia Baia Iaiaaa

Ce soir j'ai de la peine,
Il s'est pendu
Dans un jardin de Vienne.

Monte sur l'arbre
Comme un oiseau
Pour que ton âme
Monte plus haut...

. . .


triste elle est prête à tout
pour rien, pour tout
dans la ronde des fous elle pleure tout doux
lґamour a tué les mots qui la touchent,
touchent
contre ta bouche elle veut quґon la couche

triste elle fait la
grimace,
devant sa glace
dґun coup du coeur enlace lґombre qui passe
et rien jamais nґeffacera les traces, lâches
du sang qui coule des corps qui se cassent

adieu tristana
ton coeur a pris froid
adieu tristana
dieu baisse les bras
laissez-la partir
laissez-la mourir
ne le dites pas
tristana, cґest moi!

triste sort tristana
tu sais, crois-moi
trois petites tours, elle sґen va
la vie comme ça
les plus beaux jours sґachèvent dans la peine, haine
pourquoi faut-il payer de ses veines

adieu tristana
ton coeur a pris froid
adieu tristana
dieu baisse les bras
laissez-la partir
laissez-la mourir
ne le dites pas
tristana, cґest moi

. . .


Bulle de chagrin
Boule d'incertitude
Tant de matins
Que rien ne dissimule
Je veux mon hiver
M'endormir loin de tes chimeres
Je sais bien que je mens
Je sais bien que j'ai froid dedans

Bulle de chagrin
Boule d'incertitude
De nos destins
Naît que solitude
Tu dis qu'il faut du temps
Qu'aimer n'est pas un jeu d'enfant
Je sais bien que tu mens
Mais je suis si seul a présent

Ainsi soit Je
Ainsi soit Tu
Ainsi soit Il
Ainsi moi je
Prie pour que Tu
Fuis mon exil
Mais quel espoir
Pourrais-je avoir
Quand tout est noir?
Ainsi soit Je
Ainsi soit Tu
Ainsi soit ma vie
Tant pis.

Bulle de chagrin
Boule d'incertitude
Deux orphelins
Que le temps défigure
Je voudrais mon hiver
M'endormir loin de tes chimeres
Tu sais bien que je mens
Tu sais bien que j'ai froid dedans.

Ainsi soit Je
Ainsi soit Tu
Ainsi soit Il
Ainsi moi je
Prie pour que Tu
Fuis mon exil
Mais quel espoir
Pourrais-je avoir
Quand tout est noir?
Ainsi soit Je
Ainsi soit Tu
Ainsi soit ma vie
Tant pis...

. . .


Cendre de lune, petite bulle d'écume
Poussée par le vent, je brûle et je m'enrhume
Entre mes dunes reposent mes infortunes
C'est nue, que j'apprends la vertu

Je, je suis libertine
Je suis une catin
Je, je suis si fragile
Qu'on me tienne la main

Fendre la lune, baisers d'épine et de plume
Bercée par un petit vent, je déambule
La vie est triste comme un verre de grenadine
Aimer c'est pleurer quand on s'incline

Je, je suis libertine
Je suis une catin
Je, je suis si fragile
Qu'on me tienne la main

Quand sur mon corps, tu t'endors
Je m'évapore, bébé tu dors et moi j'attends l'aurore
Quand de mes lèvres tu t'enlèves, un goût amer
Me rappelle que je suis au ciel

Cendre de lune, petite bulle d'écume
Perdue dans le vent, je brûle et je m'enrhume
Mon corps à peur, la peau mouillée, j'ai plus d'âme
Papa, ils ont violé mon coeur

Je, je suis libertine
Je suis une catin
Je, je suis si fragile
Qu'on me tiens la main

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Mouvements De Lune (Part 1)

[Нет текста]

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Je vouidrais tant que tu comprennes
Toi que je vais quitter ce soir
Que l'on peut avoir de la peine
Et semler ne pas en avoir
La coeur blessé encore soirire
Indifférente apparemment
Aux derniers mots qu'il faut écrire
Lorsuqe finit mal un roman
L'âme perdue, sauver la face
Chanter des larmes plein les yeux
Et dans l'impression d'être heureux

Je voudrais tant qu tu comprennes
Puisue notre amour va finir
Que malgré tout, vois-tu je t'aime
Et que j'ai mal à en mourir

Je voudrais tant que tu comprennes
Malgré tout ce qui s'est passé
Que je t'amais plus que moi-même
Et que je ne peux t'oublier


. . .

Mouvements De Lune (Part 2)

[Нет текста]

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