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Marc Lavoine




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Альбом Marc Lavoine


Marc Lavoine (2001)
2001
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(Guillaume Apollinaire)

Sous le pont mirabeau coule la seine
De nos amours faut-ils qu'ils n'en souviennent
La joie venait toujours après la peine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va comme la vie est lente
Et comme l'espérance est violente

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines
Le temps passe et ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la seine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

. . .


Dans le brouillard d'automne
Seulabre je marmonne
La chanson des feuilles mortes
Brumaire n'est pas coupable
De l'humeur qui m'accable
Me torture de la sorte

Passent les nuages
Ne demeure que le ciel
Mais cette larme sur mon visage
Est éternelle
Passent les nuages
Je les vois qui refluent
Mais cette l'arme comme ton image
Ne me quittera plus

Certaines inclinaisons
Ne durent qu'une saison
Je le savais bien sûr
Mais le coup fait trop mal
Comme un pauvre animal
Je lèche mes blessures

Passent les nuages
Le dicton je le connais
Mais cette larme sur mon visage
Coule à jamais

Passent les nuages
Tes beaux yeux restent secs
Mais cette larme sera le gage
De notre échec

Ce qui peut tourner mal
Finit par tourner mal
C'est la loi de Murphy
Une triste règle dont
Nous ne feront pas l'exception
Et c'est pourquoi jeune fille

Passent les nuages
Le soleil point déjà
Mais cette larme sur mon visage
Ne sèchera pas
Passent les nuages
Et défilent les jours
Mais cette larme comme un tatouage
Restera toujours

Passent les nuages
Ne demeure que le ciel
Mais cette larme sur mon visage
Est éternelle
Passe les nuages
Je les vois qui refluent
Mais cette larme comme ton image
Ne me quittera plus

. . .


J'aurais voulu te dire des mots nouveaux
J'aurais voulu t'écrire des lettres à fleur de peau
J'aurais voulu changer le jour, la nuit
J'aurais voulu t'offrir le beau temps et la pluie
J'aurais voulu sauver ta vie des milliers de fois
J'aurais voulu combattre des dragons d'autrefois

J'ai fait mieux que ça
J'ai fait mieux que ça

J'aurais voulu la belle au bois dormant
J'aurais voulu être le prince au destrier d'argent
J'aurais voulu construire un pont de la terre au ciel
Voler parmi les goélands et les hirondelles

J'ai fait mieux que ça
J'ai fait mieux que ça

(La Moldau)

J'aurais voulu partir sur un vaisseau
Fendre les couchers du soleil au fil des eaux
J'aurais voulu mettre à tes pieds des bijoux, des palais
La Vénus de Milo, L'angélus de Millet

J'ai fait mieux que ça
Un enfant de toi

De toi

Des mots, nouveaux
J'aurais voulu te dire.

. . .


Tous les jours, je chante pour vivre à découvert
Oui je chante
Parfois je ris et je danse avec des souvenirs
Drôles de fantômes
Je n'ai plus rien à perdre, ce n'est rien
Il me reste toi

Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Comme un bateau sur le Nil
Et j'use mes souliers à force de te suivre

Tous les jours je change de coin, je plie mes affaires
Je me rase
Et puis dans l'air un parfum, tu n'es pas loin
Tu te laves
Je pense à tous les mots si jolis
Que je lisais sur tes lèvres

Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Comme un bateau sur le Nil
Et j'use mes souliers à force de te suivre

Je n'ai vraiment plus rien à perdre avec toi
Que de simples choses

Et j'use mes souliers à force de te suivre
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes

. . .


Embrasse-moi
Embrasse-moi beaucoup
Quand tu m'embrasses je sens m'envahir le vaudou
Embrasse-moi
Embrasse-moi beaucoup
Je veux rester au pays de tes baisers mots doux

Besame
Besame Mucho
Quand tu te poses sur moi, je sens monter l'émoi
Besame
Besame Mucho
Je veux rester au pays chaud de tes baisers chauds

Les années passent et bousculent nos nuits
Mais restons toi et moi embrassés
Le bouche à bouche peut nous sauver la vie
Mon amour, continue de danser

Embrasse-moi
Embrasse-moi beaucoup
Laisse-moi ton rouge à lèvre en cadeau sur la joue
Besame
Besame mucho
Parlons la langue des dieux des baisers silencieux

Les années passent et bousculent nos nuits
Mais restons toi et moi embrassés
Le bouche à bouche peut nous sauver la vie
Mon amour, continue de danser

Besame
Besame Mucho
Je veux rester au pays chaud de tes baisers chauds

Embrasse-moi
Embrasse-moi beaucoup
Je veux rester au pays doux de tes baisers doux

. . .


Je pense à vous souvent
Je continue quand même
D'aimer les bateaux blancs
Que le désir entraîne
Je manque de vous souvent
Mais je m'en vais quand même
Laisser voler le vent
Qui souffle sur la peine

Chère amie, je vous envoie ces quelques mots
Pour vous dire qu'il ne fait pas beau
Et que j'ai mal, seul, depuis que je vous ai perdue
Je vous écris ces quelques fleurs
Avec mon cŒur à l'intérieur
Je vous fais toutes mes excuses

Je rêve à vous souvent
Je me souviens de tout
Je me réveille à temps
Mais je vous vois partout
Je vous attends souvent
J'invente un rendez-vous
Vous n'avez plus le temps
Plus une minute à vous

Chère amie, je vous envoie ces quelques mots
Pour vous dire qu'il ne fait pas beau
Et que j'ai mal, seul, depuis que je vous ai perdue
Je vous écris ces quelques fleurs
Avec mon cŒur à l'intérieur
Je vous fais toutes mes excuses

. . .


Tu sais
Y'aura des hauts et des bas
Dans la peine ou dans la joie
On est si fragile
Toi et moi

Bien sûr
Les mots doux les coups durs
Grandir et faire les murs
Et quand tu partiras
Loin de moi

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je suis tout nu devant toi
Que le mal ne me fait plus mal
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans mes yeux
Tu verras...briller

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je t'aime au delà de moi
Que la vie ne me fait plus peur
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans tes yeux
Il y aura...

Dors
Sans penser à tout ça
Même si parfois tu m'en veux
D'être dans tes yeux
Un peu trop
Tu sais

Ca n'a pas d'importance
Et toutes ces blessures d'enfances
Font nos ressemblances
A toi et à moi

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je suis tout nu devant toi
Que le mal ne me fait plus mal
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans mes yeux
Tu verras...briller

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je t'aime au delà de moi
Que la nuit ne me fait plus peur
Mon tout petit amour
Et tant que dans tes yeux
Il y aura...

Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans nos yeux tu verras
Briller...

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je suis tout nu devant toi
Que la nuit ne me fait plus peur
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans tes yeux il y aura
Des étoiles

. . .


Je marche dans tes rues
Qui me marchent sur les pieds
Je bois dans tes cafés

Je traîne dans tes métros
Tes trottoirs m'aiment un peu trop
Je rêve dans tes bistrots

Je m'assoie sur tes bancs
Je regarde tes monuments
Je trinque à la santé de tes amants

Je laisse couler ta seine
Sous tes ponts ta rengaine
Toujours après la peine

Je pleure dans tes taxis
Quand tu brilles sous la pluie
C'que t'es belle en pleine nuit

Je pisse dans tes caniveaux
C'est d'la faute à Hugo
Et j'picolle en argot

Je dors dans tes hôtels
J'adore ta tour Eiffel
Au moins elle, elle est fidèle

Quand j'te quitte un peu loin
Tu ressembles au chagrin
Ça m'fait un mal de chien

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Boul'vard des bouleversés
Paris tu m'as renversé
Paris tu m'as laissé

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Paris Paris tenu

Paris Paris perdu
Paris tu m'as laissé
Sur ton pavé

J'me réveille dans tes bras
Sur tes quais y a d'la joie
Et des loups dans tes bois

J'me glisse dans tes cinés
J'me perds dans ton quartier
Je m'y retrouverai jamais

Je nage au fil de tes gares
Et mon regard s'égare
J'vois passer des cafards sur tes bars

J'm'accroche aux réverbères
Tes pigeons manquent pas d'air
Et moi de quoi j'ai l'air

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Boul'vard des bouleversés
Paris tu m'as renversé
Paris tu m'as laissé

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Paris Paris tenu
Paris Paris perdu
Paris tu m'as laissé
Sur ton pavé

Je marche dans tes rues
Qui me marchent sur les pieds
Je bois dans tes cafés

Je traîne dans tes métros
Tes trottoirs m'aiment un peu trop
Je rêve dans tes bistrots

. . .


J'ai suivi les rues
Qui descendent à la plage
Parmi les voyageurs
Voyageant sans bagage
J'ai suivi mes pas
Et j'ai croisé les tiens
Ton ombre
Jolie comme un ange femme
Tes cheveux
Détachés et libre d'âme

J'ai suivi les chemins
Des cartes anciennes
Elle a lu dans ma main
La cartomancienne
J'ai suivi mes instincts
J'ai croisé tes yeux
Tu es belle
Comme un ange qu'on déshabille
Tes chevilles détachées de libre fille

Moi qui n'avais plus l'envie d'aimer
Me voilà pris dans le tourbillon salé
Des larmes et des baisers
De rire et de la joie de vivre
Deux guitares au soleil
Et tu danses avec moi

J'ai suivi tes mains
Qui dansaient dans le bleu
J'ai bu tes parfums
Je t'ai appelée de mes vŒux
J'ai touché ta peau
Et ta bouche amoureuse
Mon ange autour des feux de joie
Je flanche et je brûle avec toi

Moi qui n'avais plus l'envie d'aimer
Me voilà pris dans le tourbillon salé
Des larmes et des baisers
De rire et de la joie de vivre
Deux guitares au soleil
Et tu danses avec moi
Deux guitares au soleil
Et tu rêves avec moi
Deux guitares au soleil
Et tu pars avec moi

Moi qui n'avais plus l'envie d'aimer
Me voilà pris dans le tourbillon salé
Des larmes et des baisers
De rire et de la joie de vivre
Deux guitares au soleil
Et tu pars avec moi

. . .


Ma jonque est jaune
Jaune jonquille à faire pleurer l'automne
Ma jonque est jaune
J'en connais qui s'en étonnent

Ma jonque est jaune
Jaune jonquille de Manille à la quille
Elle me torpille
De regard feu des dragonnes

Porté par des vagues de jade
J'ai déjà du vague à l'âme
Dansez moi javanaise
Sur les falaises
De nos jadis

Ma jonque est jaune
Jaune jonquille à faire trembler les ormes
Ma jonque est jaune
J'en connais que ça désarme

Ma jonque est comme
Les mers qu'on traverse au pied de l'opium
Là sur ma natte
Mes pensées l'habillent d'agate

En attendant le sampan
Je fais les 100 pas
Sous un ciel de safran
Je me sens pas
Pas si souffrant

Dans la vase s'abîment
Des faïences et des ming
En avant la machine
Au vent salé
J'me laisse aller

Ma jonque est jaune
Jaune jonquille à rajeunir les hommes
Ma jonque est jaune
Petite esquisse à la gomme

Ma jonque est jaune
Jaune jonquille à faire rougi l'automne
Ma jonque est jaune
Jaune à rajeunir un homme

Ma jonque est jaune.

. . .


[Marc]
À deux pas d'ici, j'habite, peut-être est-ce ailleurs ?
Je n'reconnais plus ma vie, parfois, je me fais peur
Je vis dans un monde qui n'existe pas
Sans toi, je ne suis plus tout à fait moi

[Cristina]
À deux pas d'ici, j'ai égaré ce que j'étais
Mon nom ne me dit rien ni la photo sur mes papiers
On peut bien m'appeler untel ou untel
Sans toi, peu importe qui m'appelle

[Marc & Cristina]
Comment dit-on bonjour ? Je ne sais plus
Le parfum des beaux jours, je ne sens plus
Comment fait-on l'amour ? Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oubliée.
Les mots doux de velours, je n'écris plus
Et le sens de l'humour, je l'ai perdu
Comment faire l'amour ? Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oublié.

[Marc]
À deux pas d'ici, j'ai essayé de revenir
De mettre un peu d'ordre à mes idées, les rafraîchir
[Cristina]
Je m'suis coupé les cheveux, j'ai rasé les murs
Ce que j'ai fait, je n'en suis pas sûre

[Marc & Cristina]
Comment dit-on bonjour ? Je ne sais plus
Le parfum des beaux jours, je ne sens plus
Comment fait-on l'amour ? Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oubliée.
Les mots doux de velours, je n'écris plus
Et le sens de l'humour, je l'ai perdu
Comment faire l'amour ? Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oublié.

J'ai tout oublié quand tu m'as oubliée.

J'ai tout oublié quand tu m'as oublié.

. . .


Ma solitude point comme
Un soleil matinal
Une migraine en automne
Une aube grise et sale
Le solo de trombone qui vient de l'arrière salle
Dans ma mémoire résonne comme un carnet de bal

Masolitude.com
La lumière est si pâle
La lune est comme une pomme
Mon lit bien vertical
Sur un nuage de rhum dans les bois de santal
Comme un fumeur d'opium qui s'en foutrait pas mal

Etre vivant m'étonne ce que la vie fait mal
Elle reprend ce qu'elle donne
C'est la vie c'est normal

Masolitude.com
Masolitude.com

. . .


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