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Lynda Lemay




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Альбом Lynda Lemay


Blessée (07.09.2010)
07.09.2010
1.
2.
3.
4.
Introduction - Les Mûres
5.
6.
7.
Gros Cotons-Gros Blaireaux
8.
9.
10.
11.
12.
13.
Charlot
14.
Poisson
15.
16.
Farce D'oreille
17.
Ma Chaise En Rotin
18.
19.
Entre Deux Paradis
. . .


Blessée, Blessée depuis un jours perdus dont elle ne se souvient même plus

Blessée, Blessée comme un pigeon qui boite et qui tourne en rond sur l'asphalte

Blessée comme un passé qui l'a poursuis comme la nuit poursuit le jour

Blessée dans son cœur gros que toute sa vie elle conduiras comme un poids lourd

Blessée par un papa tellment sec que le désert a l'air mouillé

Blessée par les vieux doigts d'un vilain mec que sa mère à même pas quitté.....

Blessée par un de ces coureurs de victimes qui lui a arraché ses jupons

Blessée dans ses désirs les plus intimes qu'on lui tordais comme des chiffons

Blessée a force de toujours tomber en bas de sa vie en constructions

Blessée mais toujours prête a se relever et a redresser le menton

Blessée sans doute a la vie a la mort, blessée oui mais morte encore

Blessée mais résolue a vivre mieux cette foutue vie qui lui en veux

Blessée au creux dson histoire en lambeau mais l'espoir en un seul morceau

Blessée pressée de voir s'achever la guerre blessée avec le bras en l'air

Pressée d'agiter son ptit drapeau gris celui que le temps ..... a sali

Blessée par un papa tellement vieux qu'il aura pas l'temps d'aimer mieux

Blessée par une maman bien peu mature qui est du même sang que la blessure

Blessée et prête a prendre sous aile tous les autre blessés comme elle .....

Blessée mais convaincu qu'un jour viendra ou la souffrance s'estompera

Blessée comme tant d'personnes sur la planète que tout éprouve que rien n'arrête

Blessée mais c'est la plus forte de toute ..... et son cœur lourd tiens bien la route ......

(Merci à DESSEIGNE JONATHAN pour cettes paroles)



. . .


T'as ni cogné ni sonné
T'as longé le mur du côté
Et te voici, debout sur les pissenlits

Tu vois jouer mes enfants
Et j'les entends qui crient "Maman"
"Y'a un monsieur qu'est bizarre
A coté d'la balançoire
Viens lui parler nous on comprend pas son histoire"

Et me voici près de toi
J'suis ébahie que tu sois là

Tu n'as pas changé d'un brin
C'qui est différent, c'est que t'es sur mon terrain
C'qui est différent, c'est qu'ma main ne vit plus dans ta main

Tu n'as pas changé du tout
A part qu'y a mes enfants qui jouent
Autour de toi, autour de nous
Y'a quelque chose qui cloche là dessous

T'as commencé à parler
J'ai commencé à pleurer
Puis les enfants ils se sont mis à pas t'aimer
"Maman c'est qui ce monsieur
Qui fout des larmes dans tes yeux ?"

Je leur explique à demi
Que t'es disons un ami
Ça leur suffit
Ils s'réfugient dans la maison
J'ai fais exprès, j'ai pas dit
Ni d'où tu viens ni ton prénom

J'me sens comme prise ne otage
J'me sens coupable d'avoir les deux yeux qui nagent
J'me sens coupable de ne pas te défendre au passage

J'me sens comme pas très correcte
Face aux visages dans la fenêtre
De mes enfants qui font la tête

Y'a quelque chose qui cloche
Mais j'reste
A écouter tes versions
De notre fin de passion
Et j'ai le cœur qui s'empiffre d'émotion
J'suis affamée comme un lion
J'ai rien qu'envie de mordre à fond

Dedans ta bouche en mouvement
Qui me dit tout simplement
Les mots qui touchent
Qui font mouche comme avant
J'suis nostalgique à mourir
Je pleus des larmes de désir

Tu n'as pas changé d'une miette
C'qui est différent c'est les enfants qui nous guettent
C'qui est différent c'est que ma vie moi ben je l'ai refaite

Les pissenlits vont flétrir
Leurs cheveux jaunes vont pâlir
Devenir poussière et puis partir
Y'a quelque chose qu'est moche à mourir

Ça y est j'entends les gamins
Me dire "Maman on a faim"
J'regarde ma montre il est déjà midi et vingt
Ça fait deux heures qu'on est là
Deux heures que tu me tends les bras

Dans ma petite cervelle
J'suis déjà toute infidèle
Ça faisait longtemps que j'm'étais pas sentie si belle
J'm'entends de dire "Désolée, y'a les enfants qui m'appellent"

Je monte sur mon balcon
Quand j'me retourne t'as les yeux comme des rayons
Tu fais demi-tour et soudain je suis prise de frissons

Tu longes le mur du côté
Et ta voiture eh ben je l'entends démarrer
Et au lieu de te retenir
J'prends une casserole j'mets d'l'eau à bouillir

Il est midi quarante-quatre
Les gamins mangent des pâtes
Moi j'suis dehors à genoux sur le gazon
Un pissenlit dans les mains, qui a la marque de ton talon

T'avais fait ça y'a dix ans
Revenir me voir en coup d'vent
Quand mon plus vieux il était encore au biberon
N'as tu pas vu que son frère, il a les yeux comme des rayons
Neuf ans et quelques poussières
Et ta fossette sur le menton ?

(Merci à Florent pour cettes paroles)



. . .


Les mots s'bousculent dans ma tête
J'rouve pas la formule qu'il faut
Pas aujourd'hui demain peut être
J'trouvrais l'moyen d'cracher l'morceau
En attendant j'me réfugie dans un silence qui m'ronge le coeur
Depuis que j'ai rencontré Marie

Des fois j'me dis qu'à l'age que j'ai
J'devrais laisser d'cote ma peur
Me balancer des préjugés qui cherchent a gruger mon bonheur
Mis tout ce temps qui ma vieilli
N'a justement jamais prédis
Que j'allais rencontrer Marie

Et quand je pense à mes Marion, à mes Bernard, à mes Leon
A ses histoires toujours finies en quelques soirs en quelques nuits
Bien entendus que j'me réjouis
J'ai l'coeur qui tourne comme une toupie
Depuis que j'ai rencontré Marie

Mais hier encore quand mes parents m'ont inviter pour le souper
J'ai eu la trouille, j'ai pas eu l'cran d'arriver là accompagner
J'ai avaler mon spaghetti et j'suis parti sans avoir dit
Que j'avais rencontré Marie

J'me dis que pour une fois qu'c'est beau
Je comprends pas pourquoi j'nous taire
J'devrais être fière comme un drapeau et me hisser en pleine lumiere
Mais je me vais d'hypocrisie et je m'enfarge dans mes mentrie
Depuis que j'ai rencontré Marie

Les mots s'bousculent dans ma cervelle
Quand j'vois mes vielles amies d'enfance
Depuis toujours c'était à elles que j'faisait toutes mes confidences
Mais sur Marie pas un seul son je reste muette comme un poisson
Et je sais bien, qu'j'ai pas raison

Combien d'année sa va me prendre
Pour m'assumer pour me défendre
Alors que personne m'attaque
A part moi même qui me matraque
A coup de semais a faire fit
Du fait que j'aime enfin la vie
Depuis que j'ai rencontré Marie

Et je sais bien que si je tarde
A dévoiler mes sentiments
Que je dequise que je placarde
Depuis déjà plus de 2 ans
Oui je sais bien que ce délit
Qui s'éternise est un délit
Qui risque de m'couter Marie

Je pris l'bon Dieux de concéder
Un peu d'courage à ma ptite âme
Assez pour enfin m'afficher
Mains dans la mains avec une femme
Avec la flamme de ma vie
Qui brille comme un paradis
J'voudrais vous présenter Marie (x2)

(Merci à DESSEIGNE JONATHAN pour cettes paroles)



. . .

Introduction - Les Mûres

[Нет текста]

. . .


Il m'vient comme une envie de passer a table!
je sais que c'est une bonne heure pour du gruau
mais ce que je vais me faire descendre dans le tuyau plutot...
c'est un gros morceau de tarte fraise et rhubarbe.

les gouts bizarres des femmes enceintes, j'y croyais pas plus qu'a la vierge
j'me suis fais engrosser sans crainte de rever de sushis au ptit dej
moi je les trouvais pas crédibles ces grignoteuses de cornichons
ces bedonnantes suceptibles hyper sensibles jusqu'au nichons

j'avais disons de serieux doute quant aux adeptes de marinades
ces vaches a lait qui broutent et broutent des bananes frites a la moutarde
ces supposées grandes emotives qui vont faire croire a leur mari
que si elles ont pas leur pot d'olives elles vont pas dormir de la nuit

j'les trouvais pas tres bonnes actrices, ces egoistes ballonnées
ces pauvres manipulatrices qui croient qu'le monde est a leurs pieds
celles qui pensent que de la cervelle pour que bebe en soit pourvu
il est normal et maternel d'en bouffer deux ou trois toutes cru

j'suis tombée enceinte en octobre et soudain je fus incapable de supporter la moindre robe sur ma belle poitrine intouchable
j'etais bien vite forcée d'admettre que bon sang, j'avais faim tout le temps
je multipliais les recettes qui f'rais jeuner les plus gourmands

malgré mes efforts pour me battre contre ma desolante nature, un soir d'hiver d'une voix ingrate, j'ai dit "chéri, trouve moi des mûres!"
ce sont ces ptits fruits introuvables en plein janvier dans notre village, qui m'ont rendu méconnaissable, insupportable, une vraie sauvage!...
J'ai dit: "cheri! si tu respectes ce petit enfant que je te porte, mais tu vas me trouver au quebec une epicerie qui en importe!"
et sous les yeux de ma (***) le pauvre est parti en voiture; il est revenu avec des fraises et j'ai guelé "trouve moi des mûres!!!!!"
il existe surement comme une mafia, un regroupement de grosses bedaines, avec a sa tete une marraine qui ale controle de ces fruits la!

il doit surement m'aimer comme un fou, il m'en a deniché une caisse. j'sais pas comment, je sais pas ou, ca du couter la peau des fesses...
tant de bonnes intentions me plaisent, c'est pas que j'ai pas aimé son geste...
mais... il est resté pris avec sa caisse parce que depuis j'ai... une envie de fraise!

il m'vient comme une envie de passer a table
je lsais que c'est une bonne heure pour du gruau
mais ce que je vais me faire descendre dans le tuyau plutot c'est un gros morceau de tarte fraise et rhubarbe
oui un gros morceau de tarte fraise et rhubarbe!!

(Merci à stephanie pour cettes paroles)


. . .


Si tu n'étais pas là
Je ne serais pas moi
je ne ferais qu'un pas et je serais perdue

Si tu n'existais plus
Toi qui étais déjà
Dés l'ultime début
Blottie tout contre moi

Si tu n'étais plus là
Pour me dire en tes mots
Le cours de mon combat,
moi, je serais K.O.

J'ai tant besoin de toi
Pour savoir qui je suis
Oui, dés que tu t'en vas
Je ne suis qu'une demie

T'es plus que ma famille
T'es plus que mon amie
Chaque fois que tu sourcilles
Mon front tressaille aussi

T'as beau m'tourner le dos
Je lis dans tes soupirs
Je sais quand ton sourire
Dissimule un sanglot

T'as besoin de mots
Pour tout me raconter
T'as besoin d'parler
Je t'entends déjà trop

Car tu bats la chamade
En plein dans ma poitrine
Je grandis comme un arbre
Ancré à tes racines

Si tu n'étais pas là
Je n'le serais pas non plus
Car c'est la même fois
Que l'on nous a conçues

On vient du même amour
Et des mêmes douleurs
Et c'est peut-être pour ça
qu'on s'connait par cœur

Dans les conversations
Les mêmes maladresses
Et quand on d'mande pardon
on s'croirait à la messe
Comme à la fin du même
Je vous salue Marie
En train de dire amen au
même moment précis
T'es plus que mon écho,
tu es mon harmonie
Tu es c'que j'ai d'plus beau,
t'es plus que mon amie

S'il manquait un morceau d'mon
pauvre squelette
Tu t'arracherais la peau pour me
tendres les restes
Tu m'prêterais ton sang comme on
prête une veste
Pour me tenir au chaud
pour qu'à tout prix je reste

On est du même berceau
De la même planète
Du même ventre gros
D'avoir porté deux êtres

Qui étaient déjà nous
Déjà inséparables
Deux petits cœurs jaloux
aujourd'hui sur leurs gardes

Lorsqu'arrive un amant
Lorsque tombe une frontière
Au milieu du courant
De notre belle rivière

Lorsqu'un peu je te perds
Aux mains d'un malheureux
Qui n'connaît pas le tiers de
c'que t'as d'plus précieux

Lorsqu'arrive un amant et qu'un
peu tu t'en vas
Vivre normalement
vivre à l'écart de moi
Je me sens minuscule me revoilà demie
J'ai mal a notre bulle
J'en veux à tes maris

De me prendre un instant
ce qui me reviendra
Il vient toujours un temps où les
hommes sont las
De te sentir soudée à quelqu'un
d'autre qu'eux
De me voir dans tes yeux,
de nous savoir liées

Par cette chose étrange
Qui fait que nos deux cœurs
Sont le fruit d'un mélange
Tu es plus que ma sœur

Tu seras toujours celle
Qui me décodera
Oui, je suis ta jumelle et c'est plus fort
qu'on croit

Si tu n'étais pas là
Je ne serais pas moi
Je ne ferais qu'un pas
Et je trébucherais

Si tu n'étais plus là
Toi, mon si doux reflet
Que ferais-je de mes bras
que ferais-je de tes traits?

Nos veines sont cousues
Nous n'sommes que fusion
Il n'y a pas d'issue
C'est presque une prison

Nos âmes enchaînées
Ne tentent d'évasion
Que des histoires ratées
Que de courtes passions

Qui n'auront jamais pu
Dénouer ces mystères
Qui tendent nos tissus
Qui tressent nos artères

Tu t'abreuves à ma source
Et je bois à la tienne
On est de la même pousse
On est du même germe
Et c'est fou comme je t'aime

(Merci à Bosquet Jennifer pour cettes paroles)


. . .

Gros Cotons-Gros Blaireaux

[Нет текста]

. . .


J'me rappelle notre salle de jeux
J'me rappelle notre vielle tante roulotte
Quand elle avait perdu un pneus
En roulant vers la nouvelle Écosse

J'me rappelle les sandwiches aux œufs
Couchés au fond d'la glassière
Toutes au frais sur des Halls pack bleus
Puis touts coupé de la même manières

Je savais même pas que ca valait des millions
Non je savais pas, a quel point c'était bon tout ca .....

J'me rappelle le p'tit bar laitier
Où j'lechais ma belle crème glacée molle
Qui m'coulais parfois jusqu'au pied
Qui m'laissiat avec des semelles qui collent

J'me rappelle qu'on prenait des marches juste pour ce rendre au bout du quai
Juste pour voire se croiser deux barges
Et puis on r'venait pour le souper

Je savais même pas que ca valait des millions
Non je savais pas, a quel point c'était bon tout ca .....

J'me rappelle adolescence, les cigarettes, les pistes de danses
La folle envie d'être encore plus grande
D'être à l'envers, de mon enfance

J'me rappelle avoir voler de mes p'tits bout d'ailes
Encore fripé, encore l'cocon
Comme étampé
Un peu comme un tresse d'oreiller

Je savais même pas, c'que j'coupais comme cordon
Non je savais pas où vont les papillons

Il fait sombre dans la salle de jeux
Y'a plus de legos plus de traque, de chemin de fer
Mon garçon se fait mal aux yeux
D'vant l'ordi qui lui serre de lumière

J'me rappelle ses crayon de cires
Du temps ou c'était d'son age
J'me rappelle son Buz Light Year
Vendu en vente de garage

Et j'espère tout bas, qu'sa valait des millions tout ca .....

J'ai sorti sa p'tite boite de jeux
J'viens d'couper son sandwiches au poulet
Quatre parfait morceaux pointus
L'compte est bon j'pense que le lunch est prêt

J'ai tout mis sur un Halls pack bleu
Puis j'sors mon fils de son repère
J'tend l'manteau j'lui replace les cheveux
Puis j'entend l'autobus scolaire

J'crois qu'se soir juste tous les deux
On passera voir la vielle crinière
Je sais pas quoi lui offrir de mieux
Pour sa dernière, journée d'primaire

Est'ce qui s'rapelle d'avoir dormis dans des p'tits motels
En Gaspési, avec mes ailes autour de lui
Comme une espèce de couvre lit
Comme étampé sur toute sa vie

J'espère tout bas qu'sa valait des million
Et qu'il le saura une fois dans l'horizon,
Le joue ou il sera, devenu papillon
Devenu papa dans une autre maison

J'espère en tout cas qu'sa lui valait beaucoup
Et qu'il le saura avant que mes ailes aient des trous .....

(Merci à DESSEIGNE JONATHAN pour cettes paroles)



. . .


Sur l'oreiller à coté de moi quelqu'un qui dort
Il a son bras autour de moi je t'aime encore
Je le regarde se réveiller je t'aime plus fort
Un discours fade un cours baiser je t'aime encore

C'est le matin d'un nouveau jour et j't'aime encore
J'prend un café ca goute rien et j't'aime si fort
Quand les gamins vont jouer dehors je t'aime toujours
J'laisse la vaisselle sur le comptoir faut qu'j'me prépare

Y'a une femme dans mon miroir qui t'aime encore
J'essuie ses larmes j'lui mets du far je t'aime je t'aime
Jours après jours et puis semaine après semaine
Je vis ma vie j'fais l'épicerie oui mais je t'aime

L'téléphone sonne c'est ma mère je t'aime encore
Elle m'souhaite un bon anniversaire et j't'aime encore
Le temps s'enfuis ma peau flétrie je t'aime toujours
Et y'a cet homme dans mon lit quand meurt le jour

Un rendez vous chez le médecin, je t'aime encore
Quelque chose de flou on voit pas bien , je t'aime encore
Y'a comme un nœud dans le dessin en noir et blanc
J'aurais les résultat demain, je t'aime tellement

Sur l'oreiller à cote de moi quelqu'un qui dort
Nouveau matin, nouveau combat, je t'aime encore
L'téléphone sonne parait qu'mes rennes ont un problèmes
Mais y'a personne qu'a vu combien encore, je t'aime

J'vois mes enfants qui sont inquiets, je les rassures
J'ai même plus l'temps pour un seul trajet en voiture
Direction nord vers ton chalet au creux des arbres
Je t'aime encore si tu savais ca me rend malade

Je t'aime tellement mais en silence, et en chagrin
Je souffre tant de ton absence dans mes reins
Que j'ai le corps et puis le cœur qui font la grève
Je t'aime encore, ma vie j'endors ca y est je rêve

Que j'ouvre les paupières et que le jour se pointe
Et c'est ton bras qui viens me faire une douce étreinte

Je t'aime encore

Je t'aime encore .......

(Merci à DESSEIGNE JONATHAN pour cettes paroles)



. . .


Il avait les mains larges
Les épaules carrées
Il avait un visage
Maturés, basané
Je n'avais a me plaindre
D'aucunes fautes de gout
Tiré à quatre épingles
Il arrivait chez nous

J'aimais son apparence
Dans ses chemises en lin
Il me rappelais je pense
Mes romans Arlequin
Un soir visant mes hanches
Il me tendit un bras
Et l'rebord de sa manche
Du coup se retroussa

Adieu le grand coup d'foudre
J'ai vu que son bronzage
N'allait que d'la main au coude
Et du coup au visage
Adieux homme de rêve
Ah non mais quel horreur
J'suis passé a deux lèvres
D'embrasser un golfeur

Ca s'prend pour des athlètes
Mais c'est mou des abdos
Ca roule en voiturette
CA manque de libido
C'est bein juste excité
Deux mains sur leur bâton
A essayer de viser
Des trous border d'gazon

Ca s'habille en jaune pale
Ca s'tiens le p'tit corp droit
Ca s'retrouve entre mâle
Ca aime un peu trop ca
Ca s'attarde au vestiaire
Ca s'compare le putter
Puis sa va boire d'la bière
Puis c'est dont d'bonne humeur
Ca s'leve à l'heure des poules
Pour fuire leurs p'tites famille
Jusqu'au soir ou sa saoule et puis qu'sa veut plus rvenir

Sa s'redonne rendez vous pour le lendemain matin
Pour un autre 18 trous
Entre très bon copains
Ca r'viens a contre cœur vers leurs femme debout
Qui dit "As tu vu l'heure " et puis qui fait l'marabout
Ca fait semblant d'pas voir la jaquette en satin
Qu'elle porte pour faire valoir
Ses jolis petit seins
Sa attend qu'la crise passe
Puis sa tombe endormis
Sa rêve a leurs club house
Sa reve a leurs caddies ....

(Merci à DESSEIGNE JONATHAN pour cettes paroles)



. . .


J'veux pas m'en aller, j'sais pas ou j'men vais mais j'me sent partir, j'me sens défaillir
J'sais pas s'qui m'attend, j'veux voir vos sourire, j'veux retenir longtemps mon dernier soupir

J'ai peur d'aller là où il y aurait personne
Où il ferait froid
J'ai peur du long somme
Prenez ma main fort, j'ai peur d'aller voire le pays des morts

J'ai du mal a croire a toutes ses histoires que l'on m'a apprises
On perçoit la gloire et qu'sa nous suffise
Je suis sans pardon
J'ai fuis les église et j'reve d'un lampion dans ma santé grise

J'veux pas dire adieux à tous ceux que j'aime
J'suis mal dans mon pieux
Mais j'me bat quand même
J'veux pas vous quitter mais j'me sent partir j'veux pas qu'vous m'voyez jusqu'au bout souffrir

J'veux pas m'en aller, j'veux juste guérir
Mais j'suis condamné, c'est c'qu'on viens d'me dire
Alors j'vous en pris, croyez aux miracles
Mangez des hosties ou jeuner jusqu'à pâques

Mais sauvez ma vie, j'veux pas qu'mon heures sonnes
Moi j'ai pas finie encore mon automne
J'veux jouer avec vous, sauter dans les feuilles
Je n'veux pas du tout franchir le grand seuil

Venez me parler même si j'vous oublis
Même si vous m'souhaitez l'ultime répis
Qui n'aurais pas peur de s'perdre la bas
Moi j'pris le seigneur
Mais, mais j'le connais pas

J'veux pas m'en aller mais je vous vois bien
Doucement me guider vers ce long chemin
Qui mène pas du tout à notre maison
Se s'ra pas chez nous ma destination

J'sais bien qu'j'ai pas l'choix
Dites moi qu'c'est OK
Qu'on s'retrouvra
J'veux qu'vous m'promettiez que le ciel est doux
Comme du sable fin
Dites moi qu'au mois d'aout
Je prendrais enfin mes plus belles vacances
Celles dont j'ai besoin
Celles qui je pense vous ferons du bien
J'veux pas m'en aller mais j'vous fait confiance
Ma vie est usée, les vôtres commencent

Prenez ma main forte c'est maintenant ou rien
Sachez qu'j'entend l'heure de ce que retiens
Le silence tiède de vos bouches clauses
Vos visages raides et vos cernes mauves
Vos visages ternes mais tellement présent
Qu'ils me disent je t'aime
Sans le dire vraiment
Sachez que j'entends
C'que vous regretterez d'avoir de mon vivant
Jamais prononcé ......(x2)

(Merci à DESSEIGNE JONATHAN pour cettes paroles)



. . .


Un jour je serais grande, un jour je serais sage
J'aurais cessé d'apprendre, j'aurais tourné ma page
Je s'rais la conclusion de toute mon histoire
J'érigerais ma maison au creux de vos mémoires

Un jour je serais bien, un jour je serais belle
Un jour je n'saurais rien, rien de moins qu'eternelle
Je calmerais les vents qui secourons vos cœurs
Je serais comme le temps mais je n'aurais pas d'heure

Un jour je serais la, près de ceux que j'ai perdue
J'aurais trouver l'endroit où vont les disparus
Vous pleurerez ma peaux, vous garderez mes cendres
Mais je serais là haut d'où nul ne peu descendre

Un jour je serais loin, un jour je serais forte
J'aurais de mon destin fermé la lourde porte
Je serais silencieuse a vous en assourdir
Et je serais heureuse qu'il vous faudra vous dire

Et quand je serais grande d'avoir tellement souffert
Que je m'laisserait prendre par un coin d'univers
Oui quand je serais sage d'avoir trop bien appris que la vie nous saccage petit a petit

J'espère que mon absence vous sera parfumée
Je s'rais la coïncidence qu'on ne peux expliquer
Je deviendrais je crois un souvenir palpable
Je trouverais vos doigts oui j'en saurais capable

J'emprunterais vos mains pour caresser les joues de vos futurs bambins oui je serais partout
Quand je n'serais plus là
Quand je serais partis
Quand je serais la bas, je s'rais toujours ici

Un jour je serais grande mais j'connais pas la suite
Un jour j'pourrais apprendre qu'un jour je serais p'tite
Au fond d'un autre ventre
Dans une nouvelle famille
La mémoire béante fragile comme une chenille

Mais si j'pouvais choisir , je choisirais surement
De ne pas revenir de mon presque néant
Je n'veux rien oublier de tout c'que j'ai appris
Je vous est trop aimer, je n'veux pas d'autre vie

Je voudrais patiemment, vous préparer un nuage
Pour quand vous serez grand pour quand vous serez sage
Je vais devenir ancêtre et c'est très bien ainsi
C'est ne jamais renaitre
Qui sera mon paradis .......

(Merci à DESSEIGNE JONATHAN pour cettes paroles)



. . .

Charlot

[Нет текста]

. . .

Poisson

[Нет текста]

. . .


Une mère
Ca travaille à temps plein
Ca dort un œil ouvert
C’est d’garde comme un chien
Ca court au moindre petit bruit... Afficher davantage
Ca s’lève au petit jour
Ca fait des petites nuits.
C’est vrai
Ca crève de fatigue
Ça danse à tout jamais une éternelle gigue
Ça reste auprès de sa couvée
Au prix de sa jeunesse
Au prix de sa beauté.

Une mère
Ca fait ce que ça peut
Ca ne peut pas tout faire
Mais ça fait de son mieux.

Une mère
Ca calme des chamailles
Ca peigne d’autres cheveux que sa propre broussaille.

Une mère
C’est plus comme les autres filles
Ca oublie d’être fière
Ca vit pour sa famille

Une mère
Ca s’confie nos bercails
C’est pris comme un noyau dans l’fruit de ses entrailles

Une mère
C’est là qu’ça nous protège
Avec les yeux pleins d’eau
Les cheveux pleins de neige

Une mère
A un moment, ça s’courbe,
Ca grince quand ça s’penche
Ca n’en peut plus d’être lourde
Ca tombe, ça se brise une hanche
Puis rapidement, ça sombre
C’est son dernier dimanche
Ca pleure et ça fond à vue d’oeil
Ca atteint la maigreur des plus petits cercueils
Oh, bien sûr, ça veut revoir ensemble
Toute sa progéniture entassée dans sa chambre
Et ça fait semblant d’être encore forte
Jusqu’à c’que son cadet ait bien r’fermé la porte.

Et lorsque, toute seule ça se retrouve
Ça attend dignement qu’le firmament s’entrouvre
Et puis là, ça se donne le droit
De fermer pour la première fois
Les deux yeux à la fois.

Une mère
Ca n’devrait pas partir
Mais on n’y peut rien faire
Mais on n’y peut rien dire.

Une mère… (x3)

(Merci à sophie pour cettes corrections)


. . .

Farce D'oreille

[Нет текста]

. . .

Ma Chaise En Rotin

[Нет текста]

. . .


J'prendrais bien un verre de n'importe quoi
Qu'est-ce que t'as de chaud ou de froid, du frigo
J'Prendrais bien un verre , un verre de soda
Tiens j'en ai besoin comme ca pour m'éclaircir la voix....

J'veux t'oublier,
Oui t'as compris je veux t'oublier, c'est fini je te le dis
Oh oui enfin je l'ai dis

J'prendrais bien verre , un verre de rhum à la santé des hommes qui t'ressemblent pas
Non j'prendrais bien un verre
Ou deux ou trois,
Whisky, Gin, Vodka, les 3 à la fois....

J't'aime plus comme avant,
Non t'as compris j'sais plus comment j'ai pu t'aimer autant
Oh oui enfin je l'ai dit

J'prendrais bien un verre
S'il vous plait un dernier ptit verre et après je m'en vais
J'prendrais bien un verre
Mais qu'est-ce que t'as à m'regarder comme ca,
Y'a quoi qui va pas ?
Pourquoi tu pleures ?
Non pleures pas, Arrête, Ok, Pardon, Excuse moi, D'accord, Tant pis, Oublis cque j'ai dit.....

On va prendre un verre ,
Se saouler la gueule et rester ensemble pour pas rester tout seul
Oui viens prendre un verre
Ah sa fait du bien, un autre , un autre,
Jsuis presque en amour,

Viens prendre un verre, Vidons les bouteilles, après la pluie parait qu'y'a du soleil......

Soleil, soleil, soleil, soleil, soleil, soleil......

(Merci à DESSEIGNE JONATHAN pour cettes paroles)



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Entre Deux Paradis

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