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Céline Dion
Céline Dion


Информация
Настоящее имя Céline Marie Claudette Dion
Дата рождения 30 марта 1968 г.
Откуда Charlemagne, Quebec, Canada
Жанры Pop Rock
Pop
Годы 1980—н.в.
Лейблы Epic Records
Columbia Records
Сайт Website



Альбом Céline Dion


1 Fille & 4 Types (13.10.2003)
13.10.2003
1.
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13.
Valse Adieu (hidden track)
. . .


(Jacques Veneruso)

J'ai déposé mes armes
a l'entrée de ton coeur sans combat
et j'ai suivi les charmes
lentement en douceur quelque part là-bas
au milieu de tes rêves
au creux de ton sommeil dans tes nuits
un jour nouveau se lève
à nul autre pareil mais tu sais depuis....

Chorus:
Tout l'or des hommes
ne vaut plus rien...
si tu es loin de moi
Tout l'amour du monde ne me fait rien
alors surtout ne change pas.

C'est un nouveau voyage
le destin le hasard peu m'importe
qui m'a montré le passage
qui menait jusqu'à toi mais tu sais depuis....

Chorus:
Tout l'or des hommes
ne vaut plus rien...
si tu es loin de moi
Tout l'amour du monde ne me fait rien
alors surtout ne change pas...

Tout l'or des hommes
ne vaut plus rien...
si tu es loin de moi
Tout l'amour du monde ne me fait rien
alors surtout ne change pas.

(Tout l'or des hommes)
ne vaut plus rien...
si tu es loin de moi
Tout l'amour du monde ne me fait rien
surtout ne change pas...no!
surtout ne change pas...

(Tout l'or des hommes) Tout l'or des hommes
Tout l'amour du monde ne me fait rien
alors surtout ne change pas...
(Tout l'or des hommes) Tout l'or des hommes
(Tout l'amour du monde) Tout l'amour du monde
alors surtout ne change pas.

. . .


(Erick Benzi)

Apprends-moi
Les petites choses
Des couleurs que tu portes, au noir de ton café

Apprends-moi
Ce qui te repose
Tes envies et tes fautes avouées

Apprends-moi
Avec ton sourire
Tes manies, tes causes
Tes phobies, tes secrets

Apprends-moi
Ce que tu désires
En douces phrases et baisers sucrés

Et dans mes rêves
J'ai si souvent prié, Où tu voudras, où tu pourras, où tu iras, j'irai
Lis sur mes lèvres
Approche un peu plus près, Que tu m'apprennes toi, sans jamais oublier

Apprends-moi
Rien que ce qui compte
Ces rires fous qu'on ose
Puisque le monde est sourd

Apprends-moi

Apprends-moi
Que rien d'autre ne compte
Que ces serments fidèles
D'un jour

Apprends-moi
Le temps des délices
Ces puits d'ivresse neuve
Ces actes sans recours
Apprends-moi

Apprends-moi
L'art du sacrifice
Qu'on est plus vivant
Quand on meurt d'amour

Et dans mes rêves
J'ai si souvent prié, Où tu voudras, où tu pourras, où tu iras j'irai
Lis sur mes lèvres
Approche un peu plus près, Que je m'apprenne dans toi, jusqu'au dernier secret

Apprends-moi...

Apprends-moi tes sourires
Apprends-moi tes désirs Apprends-moi
Apprends-moi tes phobies
Apprends-moi tes manies Apprends-moi
Apprends-moi tes secrets

Et dans mes rêves
J'ai si souvent prié, Où tu voudras, où tu pourras, où tu iras j'irai
Lis sur mes lèvres
Approche un peu plus près, Que tu m'apprennes toi, sans jamais oublier

Et dans mes rêves
J'ai si souvent prié, Où tu voudras, où tu pourrais, où tu iras j'irai
Lis sur mes lèvres
Approche un peu plus près, Que je m'apprenne dans toi, jusqu'au dernier secret

Apprends-moi tes sourires
Apprends-moi tes désirs Apprends-moi
Apprends-moi tes phobies
Apprends-moi tes manies Apprends-moi
Apprends-moi tes secrets

. . .


(Jacques Veneruso)

Et j'ai suivi le vol d'un ange
Il m'a emmené jusqu'à toi
Un battement de cil
Et tu es là
La nuit plus rien ne nous dérange
La raison est un fil de soie
On la sent plus fragile
C'est bien comme ça
Mais dis-moi...

Toi, est-ce que tu rêves encore ?
Toi, est-ce que tu vas toujours caresser le ciel ?
Toi, est-ce que tu cherches encore ?
Toi, est-ce que tu veux toujours effleurer le soleil ?

Et j'ai suivi le vol d'un ange
Comme un voyage au fond de moi
Juste en fermant les yeux
Et tu es là
La nuit à ce pouvoir étrange
De nous faire aller jusque là
Où même les oiseaux
N'arrivent pas

Toi, est-ce que tu rêves encore ?
Toi, est-ce que tu vas toujours caresser le ciel ?
Toi, est-ce que tu cherches encore ?
Toi, est-ce que tu veux toujours effleurer le soleil ?

On frôlait l'océan
Est-ce que tu te rappelles ?
On partait droit devant
On rêvait
De voler là-bas
A l'autre bout du ciel, à l'autre bout du ciel

Toi, est-ce que tu rêves encore ?
Toi, est-ce que tu vas toujours caresser le ciel ?
Toi, est-ce que tu cherches encore ?
Toi, est-ce que tu veux toujours effleurer le soleil ?

Et j'ai suivi le vol d'un ange
Il m'a emmené jusqu'à toi
Un battement de cil
Et tu es là

. . .


(Gildas Arzel)

Tu charmes, tu blesses mais tu ne mens jamais
Tu choisis seul, bon ou mauvais
Qui décide de ce qui se fait ?
Tu es comme tu es, ça me plaît

Tu n'as pas d'heure d'hiver, d'été
D'ailleurs ta montre tu l'as donnée
Mais quand je vais mal tu le sais
Tu trouves deux, trois mots et ça y est

Des comme toi, c'est pas souvent
Écoute, c'est important...
Ne bouge rien ne bouge pas
On en fait pas beaucoup comme toi
Ne touche à rien c'est bien comme ça
Ne bouge rien ne bouge pas

Tu aimes fort et puis tu disparais
T'as bien trop d'amis pour rester
Tu ne sais même pas t'excuser
Juste te faire pardonner

Tu oublies le mal qu'on te fait
Tu veux toujours tout partager
Tu ris, tu pleures sans te cacher
La vie s'écoule sans t'abîmer

Des gens comme ça, y'en n'a pas tant
Écoute, c'est important....

Ne bouge rien ne bouge pas
On en fait pas beaucoup comme toi
Ne touche à rien c'est bien comme ça
Ne bouge rien ne bouge pas

Bis

On va te dire tourne la page Ne bouge rien ne bouge pas
Il faut grandir, devenir sage Ne bouge rien ne bouge pas
Tous ces mots qui nous mettent en cage Ne bouge rien ne bouge pas
Pour être libre il n'y a pas d'âge Ne bouge rien en bouge pas

Ecoute, c'est important...

Ne bouge rien ne bouge pas
On en fait pas beaucoup comme toi
Ne touche à rien c'est bien comme ça
Ne bouge rien ne bouge pas

. . .


(Erick Benzi)

Je connais bien ce regard,
ces yeux qui se ferment par instant
Ces pensées qui nous séprent,
qu'on ne partage même en rêvant
Fixés droit vers l'océan, belle muette,
course d'enfants
Ou de vies que tu caches à l'abri
dans ton silence que brise ma voix
Je le sens

J'aimerai tant savoir souffler
comme le vent sur ton doux visage
Faire partir le noir disparaître
le temps casser les nuages
Parler même tout bas juste
pour toi et moi
Des petits riens,
mais là-bas au loin...
Tu nages

Tu nages sans t'arrêter dans
les eaux profondes quelque part
Tu nages pour ne pas couler ici bas,
c'est déjà le soir
Et moi j'attends sur le pont 5
impuissante et seule si souvent
Moi qui n'aime que ta voix
petit point sur l'horizon
J'ai peur qu'un jour
tu ne reviennes pas

J'aimerai tant savoir souffler
comme le vent sur ton beau visage
Faire se lever l'espoir, les richesses d'avant,
nos plus belles pages
Parler même tout bas,
jute pour toi et moi
Tu te souviens mais là-bas,
au loin...
Tu nages...

Tu nages...
Tu nages...

. . .


(Jean-Jacques Goldman)

Ici l'automne chasse un été de plus
La 4L est morte on a repeint la rue
Elise a deux dents, Petit-Jean est grand et fort
J'apprends la guitare, j'en suis à trois accords

J'ai trouvé des girolles au marché ce matin
J'aimerais vivre à Rome, oh j'aimerais bien
J'ai planté des tulipes, elles tardent à éclore
C'est tout je crois, ah oui, je t'aime encore

Mais où es-tu ?
Aussi loin sans même une adresse
Et que deviens-tu ?
L'espoir est ma seule caresse

J'ai coupé mes cheveux, " enfin " dirais-tu
Ça m'a fait bizarre, mais j'ai survécu
On m'invite, on me désire et je danse et je sors
Et quand je danse, je t'aime encore

Mais où es-tu ?
Aussi loin sans même une adresse
Et que deviens-tu ?
L'attente est ma seule caresse

Et je t'aime encore
Comme dans les chansons banales
Et ça me dévore
Et tout le reste m'est égal

De plus en plus fort
A chaque souffle à chaque pas
Et je t'aime encore
Et toi tu ne m'entends pas

. . .


(Erick Benzi)

Si tu me vois tourner la tête
Regarder trop par la fenêtre
Oh, retiens-moi

Si tu me surprends l'âme grise
A préparer qu'une seule valise
Oh, retiens-moi

Retiens-moi
Retiens mes pas
Fais marcher ta sirène d'amour
Ouvre tes filets de velours
Retiens-moi, love-moi
Au creux de tes promesses encore
Tout près contre ton corps

Si tu vois dans mes yeux des armes
Tirer sur le signal des larmes
Oh, retiens-moi

Si je me fais trop dure et trop fière
Si je prends l'été pour l'hiver
Oh, retiens-moi

Retiens-moi
Empêche-moi
De préférer la nuit au jour
De dire « je t'aime » sans « toujours »
Retiens-moi
Emporte-moi
Même sans appel au secours
Retiens-moi, c'est ton tour

Oh, quand tout sera fragile
Quand j'aurai l'air d'une proie facile
S'il te plaît, retiens-moi

Donne-moi
La paix de tes errances
La chaleur de ta chance et l'oubli
Dans le creux de tes reins

Donne-moi
Ce que j'ai perdu un jour
Dans ces routes et ces détours
A chercher le chemin
De tes mains

De tes mains
Retiens-moi

. . .


(Jean-Jacques Goldman)

Je lui dirai qu'il est de ce pays
Où son grand-père était bûcheron
Que dans son sang l'Orient coule aussi
Que les mélanges font de beaux enfants
Qu'il est fort et bien vivant

Je lui dirai qu'il est né de l'amour
Que nous l'attendions passionnément
Que chaque nuit s'efface au nouveau jour
Qu'il sera grand mais qu'il a bien le temps
Oh dieu qu'il a bien le temps

Et que la vie l'appelle que le monde l'attend
Que la terre est si belle et le ciel est si grand
Qu'il est beau, que je l'aime, qu'il est ma vie, ma joie
Qu'il est un parmi des millions d'humains
Mais bien l'unique pour moi

Je lui dirai qu'ici bas tout s'apprend
Le bien le mal et même le bonheur
Qu'il ne perde jamais ses yeux d'enfant
Devant trop de malheurs et de laideur
Qu'il regarde avec son coeur

Je lui dirai d'être sage et prudent
D'aller frôler les glaces et les feux
Qu'il goûte à tout mais sans jamais dépendre
Que trop peut être pire que trop peu
Oh bien pire que trop peu

Et que la vie l'appelle que le monde l'attend
Que la terre est si belle et le ciel est si grand
Qu'il est beau, que je l'aime, qu'il est ma vie, ma joie
Qu'il est un parmi des millions d'humains
Mais bien l'unique pour moi

Je lui dirai les chansons les poèmes
Qu'il n'y a pas d'amour sans histoire
Que le bonheur est un grain que l'on sème
Qu'amour et santé ne s'achètent pas
Et qu'on n'est riche que de ça

Je lui dirai qu'un jour une autre femme
Viendra l'aimer et qu'il l'aimera
Que j'en mourrai de bonheur et de larmes
Mais que nous serons là pas après pas
Que c'est la vie et sa loi

Et que la vie l'appelle que le monde l'attend
Que la terre est si belle et le ciel est si grand
Qu'il est beau, que je l'aime, qu'il est ma vie, ma joie
Qu'il est un parmi des millions d'humains
Mais bien l'unique pour moi

Qu'il est beau que je l'aime
Qu'au-delà du mystère
Il est ma plus belle raison de vivre
Ma réponse à l'infini

. . .


(Erick Benzi)

Il a le regard économe
Il a le verbe rare, ça me plaît
Il aime le chant des colombes et l'odeur du café
Et ces petites choses qu'on fait sans y penser

C'est mon homme, mon drapeau
Mon homme, celui qu'il me faut
Je frissonne je prends l'eau
C'est mon homme, mon abri, mon lit, mon héros

Il ne saurait pas comment briller
Ou comme un phare banal, oublié
Dans sa mer ordinaire
Il brise les vagues sans voir
Ces milliers de lumières
Qu'il m'offre sans le vouloir

C'est mon homme, mon drapeau
Mon homme, celui qu'il me faut
Je frissonne je prends l'eau
C'est mon homme, mon feu, mon repos

C'est mon homme, mon ami
Qui pardonne, celui qu'on choisit
Je tâtonne, je faillis
C'est mon homme qui fait ce qu'il dit

C'est mon homme je l'admire
Mon ozone, l'air que je respire
Mon opium, mon jour
Oh mon homme, mon toit, mon chemin, mon amour

. . .


( Jacques Veneruso)

Aux promesses éternelles
Aux jours de grand soleil
Aux instants d'or et de lumière
Aux silences des âmes
Aux non-dits qui s'enflamment
Aux feux complices des lunes claires

Tant que l'eau s'endort aux yeux des reines
Comme au lit des rivières
Tant que nos mains se souviennent
Rien n'est vraiment fini
Les vents du large parfois ramènent
Le marin qui se perd
Tant que ta voix suit la mienne
Rien n'est vraiment fini
Vraiment

Aux parfums irréels
Aux nuits d'ambre et de miel
Aux douces magies de la peau
A nos chemins de vie
A tout ce qui nous lie
A ce passé qui nous tient chaud

Tant que l'eau s'endort aux yeux des reines
Comme au lit des rivières
Tant que nos mains se souviennent
Rien n'est vraiment fini
Les vents du large parfois ramènent
Le marin qui se perd
Tant que ta voix suit la mienne
Rien n'est vraiment fini
Vraiment

Si les vents du large te ramènent

Rien n'est vraiment fini

Tant que l'eau s'endort aux yeux des reines
Comme au lit des rivières
Tant que nos mains se souviennent

Les vents du large parfois ramènent
Le marin qui se perd
Tant que ta voix suit la mienne
Rien n'est vraiment fini
Vraiment
Fini

Rien n'est vraiment fini

. . .


(Jacques Veneruso)

Et on a éteint notre lumière
Celle qui nous guidait encore hier
Alors
Je voudrais te dire
Qu'il peut rester d'un amour si grand
Une étincelle qui défie le temps
Et puis
Je voudrais te dire

Chorus :
Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les blessures
Que chaque jour sans toi
N'est pas normal
C'est contre nature
Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les injures
Que chaque jour sans toi
Sans rien de toi
C'est contre nature

Même si entre nous il y a eu des guerres
On parlait d'amour encore hier
Alors
Je voudrais te dire
Que malgré la pluie l'hiver et les vents
Je n'oublierai pas nos soleils d'avant
Et puis
Je voudrais te dire

Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les blessures
Que chaque jour sans toi
N'est pas normal
C'est contre nature
Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les injures
Que chaque jour sans toi Sans rien de toi
C'est contre nature

C'est contre nature

Que chaque jour

Sans toi

Chaque jour

Sans toi

C'est contre nature

Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les blessures
Que chaque jour sans toi
N'est pas normal
C'est contre nature
Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les injures
Que chaque jour sans toi
Sans rien de toi
C'est contre nature

. . .


( Jean-Jacques Goldman)

Des milliers de baisers, des milliers de millier
Un à un de mes lèvres à tes lèvres déposés
Des millions de secondes, instantanés de bonheur
Effacés disparus en un battement de coeur

Des milliers de mots doux sur des pare-brises envolés
Numéros composés sans jamais oser parler
Bouts d'aveux déchirés dans des corbeilles à papier
Les défroisser les recoller, lire et les garder

Des milliers de caresses au millimètre carré
Des milliers de cris de souffles à nos bouches échappés
Pans de ciels effleurés, touchés, sommeils emmêlés
Rayés comme si tout ça n'avait jamais été

Je voudrais tout ramasser dans des grands sacs poubelle
Les paroles oubliées des plus banales aux plus belles
Qu'aucun ne se perde de ces instants si précieux
Ces phrases ont été dites, ces moments ont eu lieu

Tout enregistrer ajouter le son les odeurs
ADN, empreintes, mais que jamais rien ne meure
Ces millions de films de nous, mais pas du cinéma
Toutes les scènes perdues que l'on ne jouait pas

On ouvrirait tous les jours où nous serions moins forts
Tous ces embryons d'amour, toutes ces aurores
Sincères, démasqués, fragiles et vrais de candeur
Nous revoir ainsi nous rendrait peut-être meilleurs

Des milliers de baisers, des milliers de millier
Un à un de nos lèvres sur des peaux déposées
Des milliers de pensées, de moments d'éternité
De regards échangés dans des gares échangés
Des milliers de baisers en un clin d'oeil oubliés

. . .



La nuit a été longue
Elle croise le matin
S'allongent les ombres
Encore et encore
Et c'est déjà demain

Puisque la vie nous sépare
Et nous entraîne loin de nous
Que les dieux vous gardent
Encore et encore
Vers d'autres rendez-vous

Oh mes amis mes frères
Que serions-nous sans nous
Des coeurs en hiver
Si seuls et moins forts
Et le manque de nous

Des coeurs en hiver
Si seuls et moins forts
Et le manque de nous

. . .


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